La mère et ses deux filles. (1)
Datte: 10/07/2018,
Catégories:
Hétéro
Auteur: zebre222, Source: Xstory
... garage et nous prîmes l’ascenseur pour monter jusqu’au dernier étage où se trouvait le duplex que nous occupions. Dans l’ascenseur, je ne tentais rien, sinon l’enlacer tendrement, comme l’aurait fait n’importe quel homme amoureux. Elle se blottit dans mes bras les quelques secondes que dura la montée et resta silencieuse, jusqu’à ce que nous pénétrions dans l’appartement. La porte à peine fermée, elle entreprit de se déshabiller totalement et d’offrir à mon regard son corps splendide, brillant dans sa nudité. Je me rendis compte que c’était la première fois que je la voyais toute nue. Toutes les femmes ou filles nues que j’ai vues et possédées, même les plus belles, avaient une ou des imperfections qui gâchaient quelque peu l’effet de la nudité. C’est pour cela d’ailleurs que j’avais toujours préféré baiser des femmes sans les déshabiller totalement ; j’enlevais les culottes, j’envoyais au diable les soutiens-gorge, mais je leur faisais toujours garder un habit léger qui les protégeait de la nudité totale et qui les rendait encore plus désirables.
Mais Dalila nue, c’était une vraie merveille ! Je ne sais pas si c’était dû à sa jeunesse, mais son corps ne présentait pas la moindre boursouflure ni le moindre pli qui aurait altéré sa beauté. Elle n’avait ni culotte de cheval, ni des hanches trop large, ni seins trop gros ou trop petits. Tout en elle était parfait : un ventre plat, des hanches étroites, des jambes longues et bien galbées, des fesses rondes, bombées et dures, ...
... des seins posés bien haut et tendus vers le ciel ; une peau blanche très douce, comme celle d’un bébé. Et pour le bonheur des yeux, un pubis proéminent, légèrement poilu, dominant une vulve dégagée, aux grandes lèvres charnues comme dessinées par un peintre figuratif.
Elle se laissait admirer sans fausse honte. Elle mettait même du plaisir à montrer avec une certaine impudeur les endroits de son corps qui ne s’offraient pas directement et naturellement à mes yeux : sa vulve et même son anus qu’elle me montrait en se retournant et en se penchant en avant. On aurait dit qu’elle avait fait cela tout au long de sa courte vie : s’offrir au regard des hommes pour les faire mourir de désir. (J’étais sûr que dans ses fantasmes de jeune fille, il y avait cet aspect exhibitionniste : s’offrir au regard de mille garçons pour les faire bander et jouir de ce pouvoir illimité d’excitation). Et moi comme tous ces garçons auxquels elles devaient penser dans ses séances de masturbation juvénile, j’étais gonflé à bloc. Mon sexe me faisait mal à force de bander et de se heurter au tissu de mon slip ; il voulait quitter sa cachette, se retrouver à l’air libre et s’offrir à la vue de ma dulcinée.
Je lui ai donc demandé de s’approcher de moi et de me déshabiller en commençant par mes souliers. Elle s’exécuta et se mit à genoux pour défaire les lacets et ôter mes souliers, puis mes chaussettes. Elle voulut continuer directement par le pantalon ; je la retins et lui demandai de s’occuper de ma ...