1. La mère et ses deux filles. (1)


    Datte: 10/07/2018, Catégories: Hétéro Auteur: zebre222, Source: Xstory

    ... plaisir l’envahir ; ses gémissements se faisaient plus forts. J’ai craint un moment qu’elle fasse trop de bruit et qu’elle attire la curiosité des clients du restaurant qui étaient dans les autres boxes. Je lui donnais un long baiser de manière à la faire taire et lui susurrais à l’oreille de se calmer ; « quand nous serons à la maison, tu pourras crier autant que tu voudras », lui dis-je. « Allons-y tout de suite ! », me répondit-elle.
    
    — Patience ma grande, lui répondis-je, nous avons tout le temps. Tu peux commencer à prendre du plaisir ici même, ce ne sera qu’un début.
    
    — Je suis trop excitée me dit-elle ; j’ai besoin de me lâcher pour jouir ; je veux crier mon plaisir, je veux que tout le monde m’entende gémir et jouir sous tes caresses.
    
    Je compris alors qu’il me serait difficile de la faire taire et je pris la décision de quitter le restaurant avant qu’un scandale n’éclate. Je lui fis rabattre sa jupe, je lui dis de refermer les boutons de son chemisier et j’appelai le garçon pour la note. Comme par hasard, il ne mit pas plus de quelques secondes pour apparaître avec la note dans la main (comme s’il attendait à l’entrée du box, empêchant les autres clients de s’approcher et profitant tout seul du spectacle que nous donnions).
    
    Je gardais pour moi le string, lui refusant l’autorisation de le remettre. Dans la voiture, je lui demandai de relever encore sa jupe et de me laisser regarder sa chatte tout en conduisant. Ce qu’elle fit sans se faire prier. Elle ...
    ... s’adossa contre la portière, plia le genou gauche et posa le pied sur le siège de manière à m’offrir le spectacle encore mouillé de son intimité. Je me remis à bander très fort ; je dégrafai ma braguette tout en conduisant et sortis du pantalon mon pénis qui était au summum du désir : il s’était considérablement allongé et était dur comme de la pierre. Elle le regardait étonnée par sa taille et par sa circonférence. Elle me dit qu’elle n’en avait jamais vu d’aussi grands dans les photos tirées de films pornographiques qu’elle regardait parfois avec ses copines de lycée.
    
    Je lui pris sa main et lui demandai de le caresser : elle le fit sans attendre. Elle a fini en très peu de temps par acquérir le coup de main qui tirait de moi un flot gémissements de plaisir. Elle s’enhardit même à rapprocher sa bouche de lui et à déposer quelques baisers furtifs sur le gland. Je lui demandais, toujours en conduisant (lentement pour faire durer le plaisir), de lécher le gland, puis de l’introduire dans sa bouche. Sa langue agile telle une anguille se mit à parcourir mon gland et à l’envelopper ; puis elle l’aspira et il pénétra dans sa bouche sans y entrer profondément ; sa langue continua son jeu de titillement qui ne faisait qu’agrandir mon excitation. Je lui pris brutalement la tête pour lui faire enfoncer mon sexe jusqu’au fond de la gorge. Elle eut un mouvement de recul. Elle me dit que j’avais failli la faire vomir.
    
    Je m’excusai et lui dis qu’on était arrivé. Je laissai la voiture au ...
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