1. La mère et ses deux filles. (1)


    Datte: 10/07/2018, Catégories: Hétéro Auteur: zebre222, Source: Xstory

    L’histoire que je vais vous raconter m’est arrivée au printemps, à un moment où j’effectuais une inspection dans un chantier que réalisait mon entreprise, près d’une cité populaire dans la banlieue Est d’Alger. A l’entrée du chantier j’avais remarqué une bande bruyante d’enfants et de jeunes qui remplissaient seaux et jerricans à partir d’un robinet se trouvant à l’entrée du chantier. Il faut dire que les problèmes de pénurie d’eau étaient récurrents dans cette région. Tous ceux qui, comme moi, avaient les moyens de disposer d’une réserve, permettaient à la population alentour de l’utiliser.
    
    Mon regard avait été très vite attiré par une fille, qui d’une part dénotait dans le spectacle par son âge assez avancé (elle avait l’air d’avoir au moins dix-huit ans) et d’autre part était d’une beauté remarquable. Elle avait une peau très blanche, contrastant très fort avec des cheveux noir-corbeau. Elle était assez grande, pour une fille de ce pays ; elle devait mesurer 1,75 mètre. Elle était vêtue d’une simple robe de coton ; une de ces robes d’intérieur longues et légères qui épousent, quand elles bougent, les formes des filles ou femmes qui les portent. Ses cheveux étaient en désordre, même s’ils étaient courts. Il faut dire que déjà le fait qu’elle était tête nue, dépareillait totalement dans cette contrée où la quasi-totalité des filles pubères portaient le hidjab, cette tenue islamique qui, parait-il, mettait à l’abri du regard concupiscent des hommes, la vertu des ...
    ... femmes.
    
    Je n’avais pas pu m’empêcher de contempler longuement cette espèce d’amazone qui n’arrêtait pas de gesticuler et d’apostropher le gardien du chantier qui servait l’eau. Elle réclamait d’être servie en priorité et le gardien, probablement pour la garder auprès de lui le plus longtemps possible, refusait d’obtempérer. A chacun de ses gestes, sa robe se plaquait contre son corps et mettait en valeur des hanches étroites, des fesses rondes et bombées, des jambes longues et bien dessinées et surtout une paire de seins de taille moyenne mais au galbe irréprochable.
    
    J’étais sûr qu’elle ne portait pas de soutien-gorge. Et cette idée commençait à titiller mes sens quelque peu endormis, après une nuit sexuellement bien remplie. Les mouvements qu’elle faisait plaquaient de temps en temps le léger tissu de sa robe contre ses hanches et ses fesses et mettaient en évidence le dessin du contour de sa culotte: elle ne portait pas de string, contrairement à une majorité de filles et de femmes modernes. J’étais sûr qu’elle portait une culotte en coton qui cachait toute son intimité, à l’image d’un caleçon de garçon. Cela n’avait rien d’érotique, mais cette idée qu’elle pouvait porter une telle vieillerie, aiguisait encore plus mon intérêt pour elle.
    
    Elle avait une voix un peu rauque, comme si elle fumait beaucoup ; ce n’était pas, bien sûr, le cas. C’était sa voix naturelle ; une voix qui vous pénétrait par la peau et qui allait titiller la colonne vertébrale et le bas-ventre de l’homme ...
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