1. La mère et ses deux filles. (1)


    Datte: 10/07/2018, Catégories: Hétéro Auteur: zebre222, Source: Xstory

    ... murmuré à l’oreille qu’elle était belle et que j’avais hâte de lui faire découvrir le paradis de l’amour (ou le septième ciel, comme elle disait). Je lui ai demandé de m’embrasser sur la bouche ; ce qu’elle fit avec maladresse, en gardant ses lèvres fermées. Je lui ai demandé de recommencer en ouvrant ses lèvres et en me donnant sa langue. Ce qu’elle a fait docilement, mais sans encore y mettre de la passion ou du désir.
    
    Je lui ai dit que c’était bien, mais qu’elle a encore beaucoup de chemin à parcourir avant d’atteindre la perfection du baiser sensuel. Elle a alors recommencé et petit à petit ses lèvres ont pris la mesure des miennes et sa langue pénétrait dans ma bouche et allait se mesurer à la mienne dans un fabuleux duel qui mit tous mes sens à vif. Au bout d’un quart d’heure, elle était devenue une spécialiste du baiser mouillé infernal ; celui qui réveille tous les sens et fait bander comme un âne. Des baisers prometteurs d’une nuit torride.
    
    J’ai mis ma main sur son genou droit ; un genou rond et dodu, d’une douceur de soie. Je l’ai sentie frémir et se crisper un peu. J’ai laissé ma main sur son genou, comme si je n’avais pas senti sa crispation ; elle m’a laissé faire sans dire un mot. J’ai avancé ma main à l’intérieur de sa cuisse, tout en la forçant à s’écarter au fur et à mesure qu’elle remontait vers la naissance de ses cuisses ; vers le paradis. Elle était tentée de refermer ses jambes de manière à m’empêcher d’aller plus loin. Je lui ordonnais doucement ...
    ... à l’oreille, mais d’une voix sans réplique :
    
    — Ouvre-les !
    
    Elle obéit sans un mot et laissa ma main aller à la rencontre de sa culotte (c’était un string !). Elle se crispa un peu plus et resserra ses cuisses sur ma main sans comprendre qu’en la tenant prisonnière elle lui permettait ainsi de caresser sa chatte à travers son string. Je sentis son souffle devenir plus court et son corps commencer à remuer insensiblement ; irrésistiblement. De mon autre main, j’entrepris de caresser son sein droit à travers son chemisier. Elle n’avait pas mis de soutien-gorge. Son sein était tendu et ferme. Fiévreusement je dégrafais les premiers boutons de son chemisier pour mettre à nu ses mamelons. Le spectacle qui s’offrait à mes yeux était féerique : des seins blancs, de taille moyenne, dessinés pareils à des pommes avec des tétons violacés, tendus vers le ciel et appelant les caresses.
    
    Je pris entre mes doigts le téton droit et le pinçai doucement quelques secondes avant de passer à l’autre sein. Son souffle devint encore plus court ; sa bouche s’ouvrait à moitié, comme si elle avait besoin de respirer plus fort. Elle murmurait des mots incompréhensibles, qui n’étaient destinés qu’à elle seule. Nous restâmes ainsi un bon laps de temps : elle, la jupe relevée, les jambes entrouvertes et les seins en l’air ; moi avec une main caressant sa chatte à travers le tissu de sa culotte et manipulant l’un et l’autre de ses tétons entre mes doigts. Inutile de dire que j’étais au summum de ...
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