1. La mère et ses deux filles. (1)


    Datte: 10/07/2018, Catégories: Hétéro Auteur: zebre222, Source: Xstory

    ... jeune fille en attente des belles choses que la vie voudra bien lui offrir, pour les avaler goulûment.
    
    Elle n’était pas encore à l’aise dans ses nouveaux habits, ni dans sa nouvelle silhouette, ni dans sa nouvelle apparence physique. Elle se regardait constamment dans la glace du salon, comme si elle voulait se persuader que c’était bien elle qu’elle voyait en face. Mais petit à petit elle prenait de l’assurance et finissait même par marcher avec ses hauts talons sans vaciller ou trébucher. Il se dégageait d’elle toute la volupté du monde et toutes sortes d’images coquines me traversaient l’esprit pendant que je l’admirais. Je la déshabillais du regard, cherchant à deviner les images de paradis que le tailleur, les bas et les dessous cachaient à ma vue.
    
    J’ai remercié l’assistante qui s’en alla, contente de son travail et je suis resté seul avec Dalila. Pour ne pas l’effaroucher en l’entreprenant immédiatement (ce que de toute évidence, elle attendait que je fasse) je lui ai proposé de l’amener manger au restaurant, histoire de l’habituer à ma présence et de faire plus ample connaissance. Histoire aussi de dégeler l’atmosphère et préparer la suite dans les meilleures conditions possible.
    
    Nous avons donc été manger dans un des restaurants chics de la capitale, dans lequel j’avais mes habitudes. Je ne me rappelle pas de ce que nous avions mangé ; cela n’a d’ailleurs aucune importance. Ce dont je me rappelle par contre, c’est qu’on était assis côte à côte dans un box à ...
    ... l’abri des regards indiscrets. Je la faisais parler d’elle, de ce qu’elle faisait, de sa famille, de ses amis, de ses amours. Je sus ainsi qu’elle était encore lycéenne et qu’elle devait passer son baccalauréat dans moins d’un mois maintenant. Qu’elle n’avait pas bien travaillé et qu’elle était sûre d’échouer à l’examen. Qu’elle n’avait pas beaucoup d’amies filles parce qu’elles étaient jalouses d’elle et surtout, qu’elle ne portait pas le hidjab. Qu’elle avait eu un petit copain qu’elle croyait aimer, mais qu’il exigeait d’elle qu’elle change de tenue et avec lequel elle avait rompu récemment.
    
    Question relations sexuelles, elle n’avait aucune expérience, même pas de flirt poussé avec son petit copain : juste quelques baisers furtifs. Elle avait bien eu une expérience d’enfant (13 ans) avec un proche cousin qui l’a convaincu de lui montrer sa chatte pendant qu’il lui montrait son zob et qu’il se masturbait. Mais cela ne l’avait pas beaucoup marquée. C’est là aussi que j’ai découvert que Dalila n’avait pas de problèmes avec les mots : elle appelait un chat un chat et un zob, un zob. Elle n’était pas effarouchée par les mots, quoiqu’ils aient comme signification et quoiqu’ils renferment comme pesanteur sociale.
    
    C’est à ce moment que le cochon qui sommeillait en moi a commencé à se réveiller et m’a poussé à des mots et des gestes qui ont enflammé mon sang et ont commencé à l’enflammer elle aussi. Je me suis mis à l’enlacer tendrement et à l’embrasser sur le cou. Je lui ai ...
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