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La mère et ses deux filles. (1)
Datte: 10/07/2018, Catégories: Hétéro Auteur: zebre222, Source: Xstory
... voiture, excité à la seule idée de la revoir et de l’amener dans mon antre de célibataire endurci et de lui faire découvrir le paradis. Cela ne s’est bien sûr pas passé comme je l’avais espéré. J’ai attendu longtemps son coup de fil : je crois qu’un mois entier s’était passé avant qu’elle ne m’appelle. J’avais même commencé à l’oublier. Je m’étais convaincu que c’était mieux ainsi, qu’elle était trop jeune et que j’allais m’embarquer dans une aventure que je n’aurais pas pu maîtriser. Mais au moment où elle m’a appelé, tout était redevenu possible. Elle m’a dit que sa mère a fini par accepter (après semble-t-il de longs palabres avec le mari qui mettait son honneur de mâle en jeu) mais qu’elle exigeait que je trouve du travail pour son père qui avait fait l’objet d’un licenciement économique et qui était au chômage depuis plusieurs mois. Ce que bien sûr j’ai accepté. Je l’ai fait recruter dans le chantier où j’avais fait la connaissance de sa fille. J’ai été la chercher le lendemain en début de journée. Je l’ai amenée dans le duplex que je venais d’acquérir au dernier étage d’un immeuble que ma société venait de construire et que je n’avais pas encore occupé. Mon assistante que j’avais prévenue auparavant nous attendait à l’intérieur. Je lui ai présenté Dalila (c’est son prénom), lui ai donné une liasse de billets et lui ai demandé de l’accompagner dans les magasins pour acheter vêtements, sous-vêtements et souliers et l’amener dans un institut de beauté pour ...
... arranger sa coiffure et la maquiller à l’instar d’une nouvelle mariée. J’étais sûr que mon assistante qui connaissait parfaitement mes goûts en la matière (elle avait été longtemps ma maîtresse) s’occuperait de Dalila comme il fallait. Elle lui donnerait même les conseils qu’il fallait pour qu’elle reste toujours à mon goût. Je les ai laissées partir et j’ai passé la journée à mon travail. Le soir j’ai rejoint mon appartement et trouvé une vraie merveille qui m’attendait ; l’assistante a réellement fait un travail d’orfèvre. La sauvageonne que je lui avais confiée s’était transformée en une belle plante, habillée sobrement avec une tenue qui mettait en valeur ses longues jambes pleines (les souliers à talons hauts qu’elle portait, maladroitement encore, mettaient en valeur ses mollets, ses cuisses et sa croupe qu’on dirait dessinés par un artiste), ses genoux bien ronds, ses hanches étroites, ses fesses d’Africaine, ses seins tendus et fermes. L’assistante lui avait par ailleurs choisi une coiffure qui respectait la forme de son visage et mettait en valeur ses grands yeux noirs, à peine maquillés. Le maquillage lui-même était discret ; il ne servait qu’à mettre en valeur sa grande bouche et ses lèvres pourpres. J’avais remarqué qu’elle ne fermait jamais totalement sa bouche. Même au repos elle laissait ses lèvres légèrement entrouvertes, lui donnant l’air de vouloir goûter à tout et de croquer la vie à pleines dents. Son regard coquin ne faisait qu’accentuer cette image de ...