1. La mère et ses deux filles. (1)


    Datte: 10/07/2018, Catégories: Hétéro Auteur: zebre222, Source: Xstory

    ... liquide qui sortait de son vagin. Un moment elle s’arrêta, retira ma tête d’entre ses cuisses, me regarda avec ses grands yeux de gazelle et me dit de sa voix rauque :
    
    — Prends-moi !
    
    Je pris un préservatif dans un tiroir de la table de nuit et l’enfilais. Je me mis à genoux devant elle qui gardait ses jambes relevées posées sur son ventre ; je lui soulevai le bassin de manière à mettre sa vulve au niveau de mon pénis. Je commençais un mouvement de caresse de sa vulve avec mon sexe ; je montais et descendais le long de la fente en exerçant une pression sur son clitoris, de manière à maintenir au plus haut son excitation. De temps en temps je pénétrai dans l’antre et allai exercer une petite pression sur son pucelage, afin de tester sa résistance. A chaque fois que je touchais son hymen, je sentais chez elle comme une crispation, une crainte. Je relâchais la pression et recommençais le mouvement de frottement de bas en haut et de haut en bas, en m’arrêtant quelques secondes sur son clitoris. Elle gémissait et gigotait de plus en plus fort. Un moment j’ai cru qu’elle allait se dépuceler toute seule, en gigotant comme elle le faisait.
    
    — Prends-moi ! Prends-moi ! Vas-y enfonce-le ! n’arrêtait-elle pas de supplier.
    
    D’un coup sec j’appuyais sur son hymen qui se déchira sous la forte pression de mon pénis. « Aie ! » fit-elle. J’enfonçais mon sexe au plus profond de son vagin ; mes couilles venaient buter sur ses grandes lèvres ouvertes. J’entrepris un long mouvement de ...
    ... va-et-vient depuis le fond jusqu’à l’ouverture et de l’ouverture jusqu’au fond en faisant attention à ne pas trop réveiller la douleur. Elle gémissait, haletait et prononçait des mots que je ne comprenais pas. De la bave coulait de sa bouche ; ses yeux restaient grands ouverts et me fixaient comme s’ils me suppliaient de ne pas arrêter le mouvement. Elle donnait à son bassin un mouvement qui exigeait de moi d’accélérer le rythme du va-et-vient de mon pénis à l’intérieur de son ventre. Je la sentais au bord de l’explosion. Je me sentais aussi au bord de l’explosion. Elles se produisirent en même temps ; moi déversant un flot de sperme, beaucoup moins épais qu’au début, dans le préservatif et poussant un long râle de plaisir ; elle le souffle court, gémissant et jouissant fortement en répétant « oui ! oui ! oui ! ».
    
    Elle relâcha brusquement tous ses muscles et resta ainsi comme évanouie pendant de longues minutes en reprenant son souffle. Son visage rayonnait d’un superbe sourire inconscient, signe d’un grand bonheur. Ses yeux étaient lourds et avaient du mal à rester ouverts. Je continuais à admirer sa beauté. Comme je l’aimais ! Je remarquais une petite flaque de sang sur le drap du lit et la lui montrais. Elle eut un grand sourire et me dit tout doucement :
    
    — A partir d’aujourd’hui, c’est toi mon maître ! Je garderais ce drap pour te rappeler chaque fois que c’est toi qui m’as faite femme !
    
    Elle s’est blottie dans mes bras et s’est tout de suite endormie. Je suis ...