1. La mère et ses deux filles. (1)


    Datte: 10/07/2018, Catégories: Hétéro Auteur: zebre222, Source: Xstory

    ... élargi et lubrifié, permettant ainsi une pénétration plus facile. Ma main gauche chatouillait toujours son clitoris. Elle gémissait de plus en plus fort, de douleur d’un côté et de plaisir de l’autre. Moi, j’étais au paradis ; je poussai des hans de bûcheron à chaque fois que je pénétrai d’un seul coup son cul jusqu’au fond et quand je revenais vers l’entrée, j’avais un gémissement de plaisir. Elle m’accompagnait dans mes mouvements : elle-même criait quand je la pénétrais avec quelque violence et elle gémissait quand je ressortais et que ma main titillait son clitoris. Je crois qu’à la fin, elle ne ressentait plus la douleur de la pénétration en force ; elle ne gardait que le plaisir qui la fit jouir en même temps que moi. Elle eut un orgasme violent, qui lui fit serrer son anus sur mon sexe et me fit moi-même jouir en éjaculant une énorme quantité de sperme dans son cul.
    
    Je continuais un temps à faire le mouvement de va-et-vient pour tout éjaculer ; le va-et-vient éjecta pratiquement tout le sperme de son cul et descendit le long de sa vulve pour venir s’étaler sur les draps du lit. Elle se laissa tomber sur le ventre, tourna la tête vers moi, me sourit et me traita de salaud pour l’avoir dépucelé par-derrière, avant de l’avoir fait par-devant. Je l’ai embrassée et lui ai demandé d’aller vite se laver avant que mon sperme ne pénètre dans son vagin.
    
    Cette phrase a eu le don de la réveiller et de la faire partir à toute vitesse vers la salle de bain. J’étais le plus ...
    ... heureux des hommes. Je venais de faire l’amour avec une déesse, belle et soumise ; totalement offerte à mon plaisir et qui prenait visiblement du plaisir à m’en donner. Il me restait à la dépuceler. J’avais décidé que cela ne se ferait pas cette nuit, mais demain au réveil : nous serions plus frais et plus en forme. C’était sans compter sur la volonté de Dalila de tout consommer cette nuit. A son retour de la salle de bain, elle me lança son sourire irrésistible et me dit de sa voix rauque et basse, qu’il ne lui restait plus que le dépucelage de devant pour devenir une vraie femme. A l’Entendre, elle n’avait même plus peur de la douleur.
    
    — Cela ne peut pas me faire plus mal que ce que j’ai vécu tantôt, quand tu m’as enculée !
    
    Sa nudité et son impudeur continuaient à avoir sur moi un effet aphrodisiaque ; je n’étais plus fatigué et je n’aspirais qu’à la posséder encore et encore. Je l’ai allongée sur le lit, jambes largement ouvertes, genoux repliés de manière à me laisser voir en un seul regard sa chatte brillant de moiteur et son anus, maintenant moins fermé qu’auparavant. Je me mis à lui sucer le clitoris, à le mordiller de manière à lui redonner du désir. Je n’avais pas à forcer la dose ; au bout de quelques secondes elle se remit à gigoter et à gémir et serrant très fortement ma tête de manière à ce que je continue la manœuvre. Elle bougeait de plus en plus fort ; ce sont ses hanches qui donnaient le rythme à ma bouche et ma langue. Je buvais avec délectation tout le ...