Isaure de Chaumont, ou : "Gardez-moi de mes amies"
Datte: 07/07/2018,
Catégories:
fh,
ff,
hplusag,
couleurs,
extracon,
grossexe,
poilu(e)s,
piscine,
campagne,
fsoumise,
fdomine,
hdomine,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
facial,
Oral
pénétratio,
jeu,
confession,
extraconj,
Auteur: Elodie S, Source: Revebebe
... amants s’emboîtent, se défont, se ressoudent, dessus, dessous, derrière, côte à côte. Shirley, en chef d’orchestre, les replace, les retourne, caresse ici un sein, là une bourse ou un sexe pour les réanimer. Leurs cris ont fait fuir toutes les bêtes sauvages alentour, et les gardes, dans leur arbre, ont le poignet douloureux.
Le lendemain, et le surlendemain encore, Shirley amène son amie au gorille. Le lendemain, et le surlendemain encore, Isaure est femme heureuse.
Entre-temps, Isaure assiste à distance à une conversation houleuse entre Shirley et le garde, au fond du potager. Lorsqu’elle s’approche, ils cessent leur dialogue musclé avec des mines de conspirateurs surpris.
En cette fin de soirée où Monsieur le Comte avait déserté son domaine pour la capitale, une fois la maisonnée couchée, Shirley intime à son amie de remettre sa grande robe verte sans rien dessous. Isaure devine qu’elle a inventé un nouveau jeu érotique, dont elle a le secret et qui la rend si folle, lorsqu’elle lui bande fortement les yeux et, la guidant par le bras, la fait sortir dans le parc. Va-t-elle marcher ainsi jusqu’au repère de son étalon noir ? C’est loin, et c’est la nuit… Elle frissonne, de peur et de désir mêlés. Étrangement, elles ne vont pas très loin. La rousse introduit son amie dans une pièce, la fait asseoir sur une table, ferme un loquet. La pièce sent le mâle et le renfermé. La prisonnière se demande où elle a été conduite. Mais l’odeur de l’homme qui s’approche la calme, ...
... les doigts virils se posent sur seins, les dénudent, les étreignent.
La blonde avance son buste et l’offre à son amant. Sans ménagement, les mains rugueuses glissent sous ses fesses, et maltraitent ses chairs. Elle est nue, et se frotte amoureusement aux rugueux vêtements de son mâle. Elle glisse ses doigts sous sa chemise, en ouvre les boutons. L’homme respire fort, elle sent sa queue qui lui frappe le bas-ventre. Soudain un doute l’assaille : il n’a plus ce viril pelage qui l’a fait chavirer ! Elle arrache son bandeau : quelle horrible méprise, c’est Albert, le garde-chasse, là, devant elle, en rut ! Elle crie, elle pleure, elle court dans la pièce pour se réfugier dans le bras de son amie, poursuivi par l’innommable satyre.
L’homme se rapproche, et Shirley la serre dans ses bras, puis la console. Il s’arrête, la mangeant de son regard salace. Isaure ferme les yeux de honte. Les mains de son amie lui caressent les flancs, douces, soyeuses, réconfortantes. Isaure, les yeux toujours clos, les sent descendre vers son mont de Vénus avec une infinie douceur. Elles écartent ses cuisses, pénètrent dans son jardin de femme. Elles font naître des milliers de frissons, dégagent les lèvres intimes, touchent son petit bourgeon. Malgré elle, la Comtesse s’entrouvre, elle ondule des hanches. Est-ce ces yeux qui la matent, elle sent son désir monter dans son ventre. Une main toujours dans sa chatte, Shirley fait lever l’innocente, la pousse vers le lit dans le coin de la pièce et l’y ...