Isaure de Chaumont, ou : "Gardez-moi de mes amies"
Datte: 07/07/2018,
Catégories:
fh,
ff,
hplusag,
couleurs,
extracon,
grossexe,
poilu(e)s,
piscine,
campagne,
fsoumise,
fdomine,
hdomine,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
facial,
Oral
pénétratio,
jeu,
confession,
extraconj,
Auteur: Elodie S, Source: Revebebe
... toute cette après-midi, et Jeanjean se demande si Albert n’est pas victime d’illusions liées à un trop long célibat : voilà plus d’un mois qu’ils ne sont pas partis en virée tous les deux voir les filles d’Orléans.
Les deux jeunes femmes n’ont abordé leur fol après-midi que le lendemain matin. Shirley, qui a baptisé Paolo « le Gorille », s’amuse de la gêne de son amie, et prend plaisir à lui répéter que ses cris de jouissance n’avaient rien de forcé. Elle lui propose de retourner l’après-midi même à l’Orangerie, mais Isaure repousse cette idée avec véhémence. Le soir venu, dans son lit conjugal, la jeune femme revit la scène de la veille ; ses sens sont exacerbés. Elle avance sa main et trouve sous le ventre rebondi le membre de son mari qui ronfle. Elle le caresse langoureusement, il bande moyennement. Arnaud grogne, s’ébroue, se retourne, et frotte son sexe contre le minou de son épouse. Elle l’introduit en elle, il la recouvre de son corps en l’écrasant, s’agite un court instant et lui crache sa semence. Longtemps, Isaure a cherché, les yeux ouverts, le sommeil. Son corps la tourmente. Plus il s’épanouit, et plus il en redemande.
D’une voix timide, lors du petit déjeuner, la jeune femme propose spontanément à son amie irlandaise d’aller voir l’avancement des travaux en début d’après-midi. Shirley accepte les yeux brillants. Après le déjeuner, elle monte avec Isaure et lui choisit une robe de soirée verte fort peu adaptée à une promenade à vélo : longue, largement ...
... fendue sur le côté gauche, elle a un décolleté vertigineux qui met merveilleusement en valeur le buste de son amie. Isaure rayonne, fière de se voir si belle en son miroir, et curieuse de la suite.
Lorsque les deux femmes arrivent à l’Orangerie, les deux gardes-chasses les attendent de leur poste d’observation. « C’était donc vrai », se dit Jeanjean. Comme elles ont caché leur vélo à proximité de leur abri aérien, ils ont tout loisir pour plonger leur regard dans le profond décolleté de la blonde, qui leur exhibe ses trésors comme des fruits mûrs dans une corbeille. Paolo, les entendant, est nonchalamment descendu de son échelle, a posé ses outils et marche vers sa tanière. Les deux amants se font face, à quelques centimètres l’un de l’autre, à l’extérieur du réduit. Les doigts d’Isaure se posent sur la poitrine du noir, descendent la longue fermeture éclair de sa salopette du haut du torse jusqu’au bas-ventre, il est entièrement nu dessous, il reste immobile.
Elle fait langoureusement glisser sa robe et n’a plus que son petit string. Elle se frotte lascivement contre le dru pelage de son gorille noir qui l’enserre dans ses bras. Les joues, les seins, le ventre, les cuisses, tous ses pores s’imprègnent de ce grisant contact ; mais le pieu de plus en plus érigé ne lui permet pas de prolonger ce moment si sensuel autant qu’elle l’aurait souhaité, et, le prenant par la main, elle l’emmène vers la couche. Shirley ramasse la robe et les suit.
Deux heures durant, les deux ...