1. Isaure de Chaumont, ou : "Gardez-moi de mes amies"


    Datte: 07/07/2018, Catégories: fh, ff, hplusag, couleurs, extracon, grossexe, poilu(e)s, piscine, campagne, fsoumise, fdomine, hdomine, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme facial, Oral pénétratio, jeu, confession, extraconj, Auteur: Elodie S, Source: Revebebe

    Monsieur le Comte Arnaud de Chaumont, PDG de la Banque Générale de Crédit de Paris, savoure en cette fin de repas un gros havane, qu’il humecte régulièrement dans son verre de cognac. Il suit d’un œil distrait sa blonde épouse tout juste trentenaire, Isaure, et Maria, la cuisinière, desservir la grande table du Manoir. Malgré un embonpoint certain, ce jeune quinquagénaire est un excellent joueur de golf, et il se lève pour rejoindre ses amis du CAC 40 pour une partie chez le Baron de Cibère. Sa mère, la Comtesse l’a précédé avec le jeune Kévin, son fils de 2 ans, dans ses appartements.
    
    Isaure se retrouve donc une fois de plus, seule, dans ce grand domaine solognot. Heureusement, sa meilleure amie, Shirley, la rejoint demain dimanche pour une quinzaine ; elle va enfin pouvoir rire avec quelqu’un de son âge ! Ce grand domaine solognot ressemble à quatre murs pour elle, et son acariâtre belle-mère monopolise son fils, tout en persiflant à longueur de temps sur sa bru roturière et ses tenues légères.
    
    C’est un bel après-midi ensoleillé de mai, et Isaure, le service terminé, enfourche son vélo. Pédaler en jupe courte n’est pas très aisé, mais elle aime ce vent coquin qui lui caresse les cuisses et se lance dans le grand tour du parc où personne ne peut l’importuner.
    
    Elle contourne la maison du garde-chasse Albert, et prend le chemin de l’Orangerie, charmante bâtisse champêtre que son époux lui a dit retaper. Tout d’un coup, en vue de la maison, débouche une bande de ...
    ... sangliers… Les bêtes effarouchées surgissent de toute part ; l’une d’entre elles la heurte, elle pousse un cri, perçoit un choc violent, chute lourdement et s’évanouit…
    
    Du haut de son échelle, Paolo a entendu le cri. Métis d’un père portugais et d’une mère capverdienne, c’est un grand gaillard barbu de vingt-cinq ans que son patron a délégué pour arranger une des maisons de M. le Comte. Comme le chantier, éloigné, doit durer près d’un mois, il s’est installé depuis peu pour y rester à demeure. Sa femme et ses deux jeunes enfants sont restés au pays. Paolo se retourne : il y a une bicyclette, à terre, au milieu du chemin. Intrigué, il descend de son échelle et s’en approche. Stupeur ! Une longue chevelure blonde dépasse du fossé.
    
    S’approchant, il découvre, inanimée, une superbe jeune femme. Elle gît sur le dos, les cuisses bien bronzées largement découvertes. L’œil expert du maçon ne peut s’empêcher de les admirer en sifflotant. Quel beau morceau de fille ! Il se penche, et ouvre de grands yeux : elle porte une tunique qui lui colle à la peau, et il contemple, admiratif, une paire de seins parfaitement sculptés dignes de figurer dans les revues qu’il lit. Lourds et massifs, tous leurs détails se dessinent à travers la fine étoffe, et de gros tétons pointent orgueilleusement vers lui. Heureusement, ces seins bougent, elle est vivante ! Hypnotisé, il regarde ce corps, et sent sous sa salopette une bouffée de désir…
    
    Se penchant, il murmure quelques mots. Isaure entrouvre un ...
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