1. Isaure de Chaumont, ou : "Gardez-moi de mes amies"


    Datte: 07/07/2018, Catégories: fh, ff, hplusag, couleurs, extracon, grossexe, poilu(e)s, piscine, campagne, fsoumise, fdomine, hdomine, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme facial, Oral pénétratio, jeu, confession, extraconj, Auteur: Elodie S, Source: Revebebe

    ... œil, le referme. Du poil noir, une peau noire, le sanglier est là, elle se met à trembler. Mais non, les sangliers ne parlent pas !
    
    Elle ouvre les deux yeux : devant elle, agenouillé, un colosse noir et barbu est penché. Une véritable toison émerge au-dessus de sa salopette plutôt blanche, il a de grosses lèvres très ourlées, un nez proéminent, de gros yeux globuleux. Se calmant devant cette apparition presque humaine, la jeune femme réalise que sa jupe est presque entièrement relevée. Elle la rabat nerveusement et tente de se mettre debout. Une douleur aiguë à la hanche l’en empêche. Dans un français aussi guttural qu’hésitant, le jeune métis lui dit :
    
    — Je vais vous relever.
    
    Et il passe un bras sous les jambes et l’autre dans le dos de la belle châtelaine. Sans difficulté, il la soulève. Un parfum enivrant et lourd lui emplit les narines. Il se dirige d’un pas assuré vers la maison champêtre. Jamais il n’aurait pu rêver avoir une telle beauté dans ses bras. Chemin faisant, son bras droit glisse sous la jupe de la jeune femme. Il sent sous la peau de son poignet la douceur élastique de sa cuisse, et le troublant contact du voile de sa culotte. Sa main gauche glisse un peu, cette fois volontairement, et ses doigts se referment sur un sein opulent, élastique et bien ferme. La blessée a de nouveau fermé les yeux, et sa tête oscille au rythme de sa démarche.
    
    Son merveilleux paquet dans les bras, Paolo rentre dans le réduit qui lui sert de chambre. Son lit est ...
    ... défait, des revues érotiques jonchent le sol, il n’y a plus de porte au WC/salle de bain. Il la dépose avec douceur sur sa couche. Isaure ouvre ses grands yeux bleus. Les doigts calleux et lourds qui ont touché sa peau lui semblent encore présents. Sa respiration essoufflée fait monter et descendre son opulente poitrine sous les yeux de son sauveur. « Où avez-vous mal, Madame ? » Elle montre son coude et sa hanche. Le colosse prend son coude, le regarde : une goutte de sang perle d’une éraflure. Pour la hanche, Paolo hésite, et soulève la jupe sur le côté : un joli hématome bleuit la peau parfaite. Mais l’habit est très court, le geste dénude son ventre. Au moment de rabattre l’étoffe si ténue, le métis arrête son geste : ce qu’il a sous les yeux est un trésor, et ses yeux s’en emparent.
    
    La belle a pour culotte un voile rose, totalement transparent à part l’élastique. Une fente parfaite y trône en plein milieu, avec deux petites touffes de poils blonds qui l’encadrent gentiment. La peau est blanc immaculé et contraste avec celle des cuisses et du ventre, parfaitement hâlée. Ses yeux sont toujours clos, ses seins plus apparents. Les yeux du Portugais restent aimantés sur la chatte de la jeune comtesse. Il discerne parfaitement ses bords finement ourlés. Il lui semble distinguer une minuscule tache d’humidité au centre du fin tissu, tel un joyau dans son écrin. Tel un chien d’arrêt, il est magnétisé par sa proie, et il sent son membre à l’étroit durcir brutalement. Isaure sent ...
«1234...9»