Isaure de Chaumont, ou : "Gardez-moi de mes amies"
Datte: 07/07/2018,
Catégories:
fh,
ff,
hplusag,
couleurs,
extracon,
grossexe,
poilu(e)s,
piscine,
campagne,
fsoumise,
fdomine,
hdomine,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
facial,
Oral
pénétratio,
jeu,
confession,
extraconj,
Auteur: Elodie S, Source: Revebebe
... son amie, a paru moins morne que d’habitude à Isaure. Comme d’habitude, sa belle-mère s’est retirée avec son fils, Arnaud a mouillé son cigare au cognac puis s’est assoupi dans le profond fauteuil du salon. Shirley l’a convaincue d’une promenade dans le parc. La jeune châtelaine a revêtu une longue robe assortie à ses yeux, alors que son amie a mis sa tenue de cheval. La blonde marche doucement, elle sent encore, malgré les soins médicaux, une légère tension à la cuisse gauche. La rousse souhaite visiter la fameuse maison de l’Orangerie, dont le Comte lui a expliqué en détail les plans de rénovation en déjeunant. Isaure, qui redoute de croiser le noir maçon, est un peu réticente. Elle la convainc finalement : un dimanche après-midi, il ne sera pas là…
Paolo fait la sieste dans son réduit minable. Le gazouillis des jeunes femmes qui s’approchent le réveille, il se lève d’un bond et se cache dans la pièce sombre qui jouxte sa tanière. Isaure montre à son amie l’endroit où les sangliers sont passés, le fossé dans lequel elle est tombée. Shirley insiste pour voir où le maçon l’avait couchée et caressée, lui donnant un presque innocent plaisir. Émue, Isaure approche à pas de loup ; la porte est entrouverte. Personne… La porte grince, des draps sont en boule sur la couche, une salopette et un slip sales traînent au sol, jonché de revues pornographiques.
— Hé bien, il ne s’ennuie pas, ton black ! dit Shirley en s’esclaffant. Il aurait bien besoin d’une fille dans son lit et ...
... dans sa vie !
Elle feuillette une revue et montre une photo particulièrement suggestive à son amie en pouffant. La porte grince, les filles se retournent, il est là, dans l’encadrement de la porte, vêtu d’un seul caleçon ! Isaure est statufiée, elle tremble légèrement. Ils se dévisagent, il l’envisage, de ses yeux sombres et pervers. La comtesse découvre l’épais tapis de poils qui se perd dans son caleçon et remonte le long de ses cuisses. Leur immobilité absolue dure un très long instant, Isaure sent une boule qui brûle son ventre.
Shirley se rapproche, tend la main sur l’épaule de son amie, et avec une lenteur infinie, fait glisser le tissu de sa robe. La bretelle de dentelle d’un soutien-gorge noir apparaît. Pas un bruit, si ce n’est le souffle de la jeune femme et le bruit de l’étoffe. Paolo ne bouge pas. L’épaule apparaît, ronde et appétissante, puis un sein, orgueilleux et lourd, dans son écrin de dentelles noires transparentes. Puis l’autre, tout aussi attirant. Paolo se souvient de cette fente hier, de ce fruit défendu. La nuit durant, cet inoubliable cliché a dansé devant ses yeux. Shirley prend ses deux mains pour tirer la robe sur la taille, qui tombe à terre. Madame la Comtesse est presque nue, vêtue d’un seul string, devant son maçon noir. Le membre de celui-ci pointe sous son caleçon. Le minou est visible, encadré de franges blondes bien taillées.
Le soutien-gorge, à son tour, glisse à terre. Deux lourdes poires dardent vers le jeune homme. Sa queue a ...