1. Isaure de Chaumont, ou : "Gardez-moi de mes amies"


    Datte: 07/07/2018, Catégories: fh, ff, hplusag, couleurs, extracon, grossexe, poilu(e)s, piscine, campagne, fsoumise, fdomine, hdomine, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme facial, Oral pénétratio, jeu, confession, extraconj, Auteur: Elodie S, Source: Revebebe

    ... certains étalons qu’elle avait fréquentés plus jeune, elle tomba enceinte au bout du premier mois de mariage au grand soulagement de sa belle-mère, en mal d’un hériter mâle.
    
    La jeune Irlandaise enduisait de crème solaire le corps de son amie, vêtue d’un mini-string ficelle jaune, admirant la plénitude de ses formes, que la maternité avait encore développées. Elle avait gardé quant à elle un maillot blanc une-pièce assez strict, car sa peau de rousse redoutait les brûlures du soleil. Après avoir évoqué leurs années de jeunesse et les conquêtes masculines qui les avaient émaillées, Shirley confessa à son amie que sa famille, propriétaire de grands domaines dans le Connemara, avait dû s’en séparer (son père jouait gros au jeu) et qu’elle venait de rompre avec le Lord avec qui partageait sa couche depuis quatre ans. Bref, un cœur à prendre, et pas de dot en vue…
    
    À voix basse, la blonde lui dit combien sa belle-mère l’insupportait et qu‘elle trouvait bien longues ces journées en Sologne. Bien sûr, Arnaud revenait fréquemment en semaine, mais leurs rapides étreintes, où il l’écrasait de sa masse, étaient toujours les mêmes et la laissaient sur sa faim. Les yeux de la rousse se mettent à briller en lui demandant si elle avait pris amant. En rougissant et en baissant encore la voix, Isaure lui dit que non, mais lui raconte l’épisode de la veille, où un maçon métissé lui avait donné du plaisir avec son seul majeur. Shirley, tout en massant maintenant doucement l’hématome sur la ...
    ... hanche de son amie, lui fait répéter par le détail le récit de cette aventure trois fois de suite dans les moindres détails. Son beau regard vert scintille d’érotisme, et elle lui confie sur un air entendu :
    
    — Tu as une tête, Isaure, mais n’oublie pas ton corps.
    
    La jeune femme aux seins nus, perplexe, médite le conseil de sa copine… La cloche du déjeuner retentit, il est l’heure de rentrer.
    
    À une centaine de mètres de là, juché en haut d’un mirador, Albert, le garde-chasse, baisse ses jumelles à leur départ. Devant lui, un grand cerf erre avec son harem de biches ; il semble particulièrement intéressé par l’une d’entre elles dont il lèche la vulve, ce qu’elle semble apprécier. Il s’imagine être le cerf, et dans le rôle de la biche la jeune épouse de son patron ! Elle hante ses jours et ses nuits, cette jeunette épanouie, depuis le premier jour où le Comte l’a ramenée, il y a deux ans. Il a failli la suivre, hier après-midi, quand il l’a vue passer, seule, près de chez lui, à bicyclette, ses longues cuisses dénudées, ses seins comme des obus clairement visibles sous son corsage. Et ce matin, à travers ses jumelles à fort grossissement, il a pu à loisir scruter les détails de son corps parfait, de son buste, de ses jambes, de son ventre. À un moment, quand elle est sortie de l’eau avec son minuscule cache-sexe, il a même cru déceler par transparence son buisson d’amour blond, et il s’est masturbé, en haut du mirador…
    
    Le cérémonial du déjeuner, grâce aux facéties de ...
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