Métro londonien et douche écossaise (1)
Datte: 06/07/2018,
Catégories:
Gay
Auteur: Mir, Source: Xstory
... tour… Je remarque alors, à la lumière de nos téléphones posés sur le sol, les kleenex que j’avais abandonnés. Il m’a fait volontairement tourner en rond, mais pourquoi ? C’est alors que j’entends les pas… et que je vois, entrant dans la lumière, cinq autres hommes, en kilt eux aussi, qui allument une lampe-torche qu’ils calent parterre. Sans attendre, ils relèvent leurs kilts et commencent à se masturber.
Mon… « guide » me regarde, d’un air interrogateur. « Is it ok ? » Je me positionne à nouveau sur notre « banc » et relève les jambes en me passant la langue sur les lèvres. Ma réponse est claire.
Mon guide ôte complètement mon kilt et mon tee-shirt. Le premier à avoir une érection suffisante vient me pénétrer. Je gémis, il n’est pas très large mais franchement long. Il entre lentement, mais entièrement. Il échange quelques mots avec mon premier baiseur, trop vite pour que je comprenne. La réponse de celui-ci l’incite à ne pas prendre de précaution : il commence des va-et-vient rapides et profonds qui me font gémir ; au bout de dix minutes environ il halète fortement, se retire sans jouir et laisse la place au suivant.
Je suis ainsi successivement enculé par les cinq nouveaux « écossais ». Chacun me baise assez violemment, en m’agrippant les hanches pour accentuer le mouvement, jusqu’à me faire décoller de mon « banc » au point que je dois m’aider de mes mains pour ne pas tomber. Lorsque l’un d’eux me prend aussi brutalement, je crie en m’agrippant à ses épaules et ...
... me cambre contre lui, écartant largement les jambes. Aucun ne jouit. Ils passent un long moment à me sodomiser ainsi à tour de rôle, quasiment une heure, revenant parfois après m’avoir déjà pénétré une première fois. Au bout d’un moment, mes gémissements deviennent des geignements et je recule un peu mes hanches, en repoussant mes enculeurs de mes mains pour limiter l’ampleur des sodomies successives : toutes ces queues dans mon cul commencent à m’irriter et me faire souffrir. Ils finissent par se retrouver tous les cinq devant moi, se branlant activement.
Mon « guide », qui a repris vigueur entre temps, passe en dernier : il dédaigne mes fesses mais incline ma tête jusqu’à pénétrer ma bouche. Lui non plus ne fait pas dans le détail : la brutalité de l’insertion tient presque du viol. Il saisit ma tête à deux mains et initie des mouvements amples qui me font suffoquer violemment, surtout quand son gland heurte le fond de ma gorge. J’essaie de protester mais mes cris étouffés se perdent dans les bruits mouillés de sa queue baisant ma bouche. Lorsqu’il met fin à cette fellation infernale, j’essaie de reprendre mon souffle, mais il ne me laisse pas de répit. Il me redresse face à lui et m’encule d’un coup sec. Toutefois, il reste planté en moi, sans bouger. Il soulève alors mes jambes et m’attrape sous les fesses, me portant et prenant ma place sur le « banc ». Je suis ainsi planté sur sa queue, genoux pliés le long de son torse, face à lui et au mur.
Je sens alors un autre ...