1. Métro londonien et douche écossaise (1)


    Datte: 06/07/2018, Catégories: Gay Auteur: Mir, Source: Xstory

    ... contre la paroi de la rame, regardant par la vitre, lorsque je le sens se coller à moi, avec un vague « sorry ». Je lui souris dans le reflet, en haussant les épaules, je marmonne dans un mauvais anglais que ce n’est pas grave. Il sourit à son tour ; en tournant légèrement la tête je remarque que lui aussi porte un kilt. Tiens, un écossais ? Ou… un homme qui, lui aussi, trouve le port du kilt bien pratique ?... Nous sommes un peu isolés du reste du wagon par une valise sur laquelle son propriétaire a posé un sac assez haut, qui nous dissimule partiellement jusqu’au-dessus de la taille.
    
    Je tente le coup. Profitant d’un cahot du métro, je colle mes fesses à son bassin. Je sens sa queue, légèrement tendue. Je reste dans cette position. Il ne bouge pas. Merveilleux, enfin… J’essaie de remuer un peu pour caler son pénis entre mes fesses, mais je n’y parviens pas. Il me regarde dans le reflet. Alors qu’il me fixe, toujours souriant, je sens ses mains sur mes fesses, qui commencent à les pétrir. Puis, profitant d’un mouvement de foule à une station où personne ne descend mais quelques passagers montent, nous compressant jusqu’à l’étouffement, il relève mon kilt et le bloque contre lui.
    
    Ses mains poursuivent leur travail sur mes fesses nues (oui, quel intérêt de porter un boxer, quand on porte un kilt dans l’espoir d’attouchements…). Je commence à respirer plus vite. Il place alors un doigt à l’entrée de mon anus. Son regard semble m’interroger dans le reflet. Je le regarde ...
    ... moi aussi, bouche entrouverte, et passe lentement la langue sur mes lèvres. Il m’enfonce alors lentement son index, forçant un peu au début (il n’était pas possible de lubrifier discrètement son doigt, je le reçois à sec).
    
    Une fois qu’il me l’a mis bien profond, il le tourne lentement dans un sens, puis l’autre, avant d’entamer un va-et-vient qui me fait très discrètement haleter. J’ai plus de mal à garder un visage à peu près impassible lorsqu’il m’insère un second doigt et accélère légèrement. Au troisième, j’écarquille les yeux et ne sais plus que faire. Ça commence à être sérieux… mais s’il déclenche trop de plaisir, comment vais-je me maîtriser?
    
    Heureusement que les Anglais se montrent très distants dans le métro. Personne ne cherche le regard de personne, encore moins dans une foule compressée comme celle de la rame où nous nous trouvons. Nous passons a priori inaperçus.
    
    C’est alors qu’il retire ses doigts. J’ai cru qu’il allait descendre mais non, il reste toujours dans mon dos et me regarde dans le reflet : je recule un peu pour retrouver son contact sur mes fesses. Je sens une belle érection se caler contre moi. Il se décolle un peu et je le devine relever son propre kilt. Il soulève davantage le mien, je sens alors sa queue se placer contre ma peau. Il m’a déjà bien élargi avec ses trois doigts ; je me cambre un peu. Il appuie son gland contre mon anus et pousse légèrement. Béni soit le métro londonien, tellement vintage avec ses cahots et ses lignes ignorant ...
«1234...8»