1. Métro londonien et douche écossaise (1)


    Datte: 06/07/2018, Catégories: Gay Auteur: Mir, Source: Xstory

    ... contre le mur derrière. Il n’a pas dit un mot depuis que nous sommes descendus de la rame et maintenant il se contente de me baiser, bien plus fort que dans le wagon. Je renverse la tête en arrière et commence à gémir. Il saisit ma queue et la branle, en marmonnant je ne sais quoi en anglais. Je gémis plus fort : sa caresse brutale m’excite terriblement.
    
    Désormais sa queue ressort presque entièrement après chaque pénétration, pour violemment revenir m’enculer quand il pèse de tout son corps contre moi. Je m’aide de mes mains pour mieux écarter mes fesses.
    
    Je suis très dur dans sa main, il doit le sentir…
    
    Il accélère en ahanant et commence à gémir à son tour. On est loin de la lente sodomie qu’il m’administrait dans la rame, maintenant il me baise sauvagement, sans vraiment se préoccuper de ce que je pourrais en dire d’ailleurs ; j’adore ce traitement sauvage. Je le sens durcir encore, oh putain c’est bon il va venir… Cette pensée, me savoir le kilt relevé sur les hanches me faisant baiser par un inconnu dans un coin désaffecté du métro, inconnu sur le point de me balancer son foutre, m’amène au bord de la jouissance.
    
    Brusquement, sa queue se contracte et il crie, en poussant un grand coup. Je sens le sperme jaillir dans mon cul. Je suis au bord de l’orgasme, mes gémissements s’intensifient. Il continue à éjaculer, en criant à chaque giclée, cinq ou six fois. Je gémis en remuant les hanches, en l’agrippant pour qu’il reste en moi : il me fait trop de bien… il se ...
    ... retire brusquement et jute le reste sur mon ventre. En sentant la chaleur de son sperme sur mon corps, je jouis à mon tour en criant longuement, ma queue toujours dans sa main crispée : mon foutre se mêle au sien sur mon corps.
    
    Il finit d’éjaculer, puis, toujours bandé, revient un peu dans mon cul. Il effectue quelques allers-retours, lents, avant de ressortir. Je suis complétement avachi sur mon pseudo-banc, anéanti de plaisir, gémissant doucement. Je sens le banc souillé de sperme sous mes fesses : le foutre a coulé de mon anus. Il me met doucement debout puis, d’une pression sur mes épaules, me fait agenouiller, me présentant sa queue, toujours en partie bandée. Je le suce lentement, nettoyant le sperme sur son pénis, jusqu’à ce qu’il ait complètement ramolli.
    
    Il s’écarte alors, reprend son téléphone et semble vérifier les messages (les stations londoniennes sont bien pourvues en réseau téléphonique, même dans les espaces désaffectés), puis il me fait signe de le suivre. Je prends le temps de m’essuyer et abandonne les kleenex derrière moi
    
    Curieusement, il me semble que nous n’empruntons pas le même chemin qu’à l’aller, mais c’est un tel labyrinthe… J’ai l’impression que nous tournons en rond. Je n’ose pas parler, il n’a pas l’air de se soucier de moi.
    
    Nous finissons par aboutir dans un autre coin désaffecté, au bout de plus d’un quart d’heure. Il me fait signe de m’approcher et me plaque contre le mur. Il relève à nouveau mon kilt. Ma foi, si on repart pour un ...
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