1. Porte ouverte au cocufiage (2)


    Datte: 03/07/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Hardcore, Première fois Auteur: grandalfo, Source: xHamster

    ... cheminement quotidien, complice, vers l’école.
    
    Il était fou d’amour envers son adorable Laura et moi fière de mon fils. Ils étaient le sujet majeur de nos discussions. Il était traducteur spécialiste des langues orientales et travaillait la plupart du temps à domicile. Sa femme était infirmière et prenait son poste de très bonne heure. Parfois, quand je n’avais pas de courses à faire, nous faisions le retour vers nos domiciles respectifs ensemble. J’aimais sa conversation, il avait énormément voyagé et avait toujours un point de vue décalé sur bien des sujets. Il m’apportait beaucoup.
    
    Puis par la suite, après avoir quitté nos enfants, nous allions boire un café au bistrot du coin. Nous discutions comme de vieux amis et souvent nous ne voyions pas le temps passer.
    
    Je ne sais ce qui m’a prise, mais un matin je l’ai invité à venir chez moi goûter une part de la tarte aux pommes que j’avais faite la veille. Sans la moindre arrière-pensée, je le jure !
    
    Nous avions pris du café, une portion du dessert, repris du café encore du gâteau. Le temps s’écoulait agréablement. Je me sentais bien en sa compagnie en toute innocence.
    
    Je me suis levée pour débarrasser la table quand soudainement il m’a prise dans ses bras. Sa bouche s’est plaquée contre la mienne. Instinctivement j’ai entrouvert mes lèvres. Sa langue m’a fouillée intimement en même temps que ses mains parcouraient mon corps. Il me semblait les sentir simultanément le long de mon dos, sur mes fesses, mes ...
    ... seins.
    
    Heureusement je me suis ressaisie brusquement. J’ai crié !
    
    — Mais ça ne va pas ! Qu’est-ce qui vous prend ?
    
    Il s’est mis à me tutoyer.
    
    — J’ai envie de toi depuis le début.
    
    Il m’a empoignée à nouveau et m’a serrée contre lui. Il a saisi ma main et malgré ma résistance l’a portée vers son entrejambe.
    
    — Regarde comme je bande pour toi, avait-il ajouté.
    
    Avec dextérité, il avait extrait son membre rigide. Le vertige m’a prise. Inconsciemment mes doigts se sont crispés sur son sexe durci. Il était épais et long. Pendant quelques secondes je l’avais étreint furtivement, les jambes toutes flageolantes, cependant que sa bouche à nouveau cherchait à explorer la mienne.
    
    Je ne sais où j’avais puisé la force de le repousser. J’ai hurlé !
    
    — Laissez-moi et allez-vous-en !
    
    Puis j’ai rajouté :
    
    — Sortez de suite de chez moi.
    
    Il a pris peur, je pense. Il m’a laissée du coup.
    
    — Je ne veux plus vous voir, c’est compris ?
    
    Mon cœur battait fort dans ma poitrine quand je me suis retrouvée seule. Je m’en voulais un peu de l’avoir reçu ainsi avec naïveté.
    
    Je n’en ai jamais parlé à mon mari.
    
    J’ai décalé de cinq minutes l’heure à laquelle j’accompagnais mon fils en classe. Vu son tendre âge, il ne s’en est pas étonné.
    
    Monsieur Martin m’a attendue les premiers temps, mais je l’ai ignoré. Le temps a passé et puis tout soudain voilà que nous nous sommes trouvés nez à nez dans cette supérette du quartier.
    
    Après ma folle nuit au club, je ne voyais plus en ...
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