Porte ouverte au cocufiage (2)
Datte: 03/07/2018,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Hardcore,
Première fois
Auteur: grandalfo, Source: xHamster
... juste comme une femelle à saillir.
De plus, je m’étais laissé aller à l’insu de mon mari et ne ressentais pourtant aucun sentiment de culpabilité. Après tout, c’est lui qui m’avait entraînée dans ce lieu de perdition. Mes sens s’étaient exacerbés et des pensées salaces occupaient désormais mon esprit jour et nuit. J’avais envie et envie d’être prise constamment.
Quelques jours après cette nuit de sortie et comme curieusement il n’y faisait aucune allusion, je l’ai questionné.
— Tu ne comptes pas retourner au club, chéri ?
— À quoi bon ?
— Il me semblait que tu avais aimé l’ambiance ?
— Tu sais, j’aurais très bien pu baiser une de ces filles si j’avais voulu, mais je me suis rendu compte que je ne désirais que toi en fait.
Puis il a ajouté :
— De toute façon c’est une perte de temps, puisque tu ne comptes pas faire quoi que ce soit !
Pendant un instant j’ai pensé qu’il y avait de l’ironie dans sa repartie et qu’il m’avait vue en pleine action. Peut-être était-il sorti et que trop prise (c’est le cas de le dire), je ne m’en étais même pas aperçue.
En tout cas, il n’en parlait pas et quand bien même, il l’avait un peu cherché. Je n’avais jamais demandé à être entraînée dans ce genre d’endroit. Maintenant que j’avais goûté à une autre sexualité, je ne songeais qu’à renouveler l’expérience. Je me suis mise à regarder tous les hommes m’imaginant des choses. J’avais le besoin de les goûter tous. Avec mon mari désormais s’était moi qui prenais les ...
... initiatives à sa grande surprise. J’osais ce qui aurait été impensable il y a peu.
Par exemple m’agenouiller devant lui durant le journal télévisé, le débraguetter et le sucer avec gourmandise. Allant même jusqu’à avaler avec délectation son jus d’homme. Je m’ouvrais davantage, je me cambrais, je m’offrais sans réserve quand mon chéri me pénétrait.
Chose nouvelle, je me caressais désormais, m’imaginant violée, partouzée ou vendue nue sur un marché aux esclaves. Mes tenues vestimentaires se sont raccourcies, dévoilant plus de mon anatomie. J’ai pris conscience du pouvoir de mes appas sur les hommes. Rien de plus efficace qu’une ne jupe raccourcie, qu’un corsage échancré pour attiser leurs regards brûlants.
Au premier desquels, mon époux !
À la maison, désormais je ne portais plus de culotte. Parfois je prenais un malin plaisir à m’installer sur le canapé face à lui, jambes largement écartées. Il suffisait que son regard s’y fixe pour m’enflammer. Il se jetait alors sur moi comme un affamé. Pour mon grand plaisir, car désormais je me laissais lécher sans honte. Aussi intime que pût être cette douceur, j’accueillais maintenant sa langue avec délectation. J’adorais qu’il me fouille de ses doigts.
Puis le diable s’en est mêlé. Enfin, ce monsieur Martin, plutôt.
C’était, et c’est toujours, le père de la petite camarade de classe de mon fils Jérôme. Nous nous rencontrions tous les matins en accompagnant nos enfants à la communale. Les deux gamins étaient heureux de ce ...