1. Porte ouverte au cocufiage (2)


    Datte: 03/07/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Hardcore, Première fois Auteur: grandalfo, Source: xHamster

    ... tout homme un prédateur. Chacun d’eux était devenu une promesse de plaisir. Le souvenir de ses mains sur mon corps a ressurgi. Un trouble étrange m’a envahi.
    
    Mes doigts se souvenaient encore de l’épaisseur de son sexe. J’ai lu la gêne dans son regard et à la fois du désir. Il avait toujours envie de mon corps. Quelque chose c’est embrasé en moi. Mue par une impulsion je me suis jetée dans ces bras. Nos langues se sont entremêlées. Je frémissais de tout mon être.
    
    Nous nous étreignons en public et je n’en avais cure.
    
    Tant pis pour mon mari. Il avait réveillé la belle endormie en l’emmenant dans un lieu de débauche. Vers une forme de sexualité qu’elle n’avait jamais envisagée.
    
    Ma fente s’était humidifiée. Sa main qui glissait le long de mon dos me faisait des frissons. Il a demandé :
    
    — On va chez toi ?
    
    J’ai hésité à répondre.
    
    — Rien n’échappe à ma femme, tu sais. Elle se rendra vite compte que j’ai reçu une visite, a-t-il ajouté.
    
    J’avais trop envie de lui pour hésiter davantage. Je l’ai tutoyé en lui soufflant à l’oreille :
    
    — Suis-moi à distance.
    
    Car j’avais peur malgré tout des cancans du voisinage. Et nous avons déserté la supérette comme des voleurs.
    
    Cinq minutes plus tard, il me tenait dans ses bras dans le vestibule de notre appartement. Sa langue fouillait avidement ma bouche et ses mains parcouraient fébrilement mon corps. Je m’abandonnais avec bonheur à ses caresses. De longs frissons me faisaient chavirer. Ses lèvres douces ...
    ... effleuraient mes joues, mon cou, mes épaules comme simultanément. J’ai dit :
    
    — Viens !
    
    Avec impatience je l’ai guidé vers notre chambre. J’allais me donner sur notre lit marital avec une part de perversité. J’en voulais à mon mari d’avoir entrouvert la porte d’un monde de plaisir et de l’avoir close aussitôt. Je me découvrais salope avec trouble.
    
    Je me suis jetée sur le lit, jambes écartées, jupe relevée. Pour l’avoir exercé sur mon époux, je connaissais le pouvoir magique de mon fond de slip offert au regard d’un homme. Ses yeux se sont fixés sur le renflement de ma moule. Avec provocation, j’ai écarté le pan de ma culotte lui dévoilant ma foune rasée. J’étais tout humide par anticipation.
    
    Deux secondes plus tard, le contact de sa langue sur mon bouton me faisait gémir. J’ai clos mes yeux et, la tête renversée, je me suis laissé aller sans retenue. C’était bon ! Il me mangeait, il me dévorait, il me buvait.
    
    Il s’est interrompu un instant pour me dire :
    
    — Elle est bonne ta chatte, elle a bon goût !
    
    Il a ôté mon slip et a enfoncé deux doigts dans ma fente. J’ai ondulé pour les sentir plus profond en moi. Je geignais. Une onde de plaisir m’a submergée. Je me suis mise à trembler de tout mon corps. De mes deux mains, j’ai plaqué sa tête avec force contre ma vulve engorgée de sang et je me suis laissé aller complètement, comme prise de convulsions. Je crois avoir perdu conscience quelques secondes. Puis je l’avais attiré vers moi. Nos lèvres se sont à nouveau ...
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