1. Porte ouverte au cocufiage (2)


    Datte: 03/07/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Hardcore, Première fois Auteur: grandalfo, Source: xHamster

    Auteur : Hotwife
    
    Je dois reconnaître qu’avant notre soirée au club je n’avais jamais été très portée sur le sexe (voir : Le club).
    
    J’aimais bien faire l’amour certes, mais j’avais du mal à me laisser aller, à lâcher prise, exprimer mes désirs. Je sentais bien qu’au fond de moi couvait un feu ardent. Mais des freins dus à mon éducation me contraignaient. Je ne m’abandonnais que difficilement tant j’avais peur d’être mal jugée.
    
    Même avec mon mari la confiance totale ne s’était jamais établie. La pénétration demeurait toujours laborieuse, douloureuse parfois.
    
    Je n’admettais de faire ça qu’à condition qu’il y ait peu de lumière. Et uniquement dans la position du légionnaire. Être prise en levrette, m’offrir la croupe relevée me paraissait impensable.
    
    Je ne le prenais en bouche que pour lui faire plaisir, mais je n’en tirais que très peu de plaisir. Et avec quelle maladresse je m’exécutais.
    
    Mon pauvre époux !
    
    Parfois même pour réduire le temps du rapport, j’ose avouer que je simulais le plaisir.
    
    Les premières fois que mon époux a évoqué ses pensées érotiques, j’ai été outrée. Il en avait plein la tête et des plus tordues. Aussi il refusait de croire que je ne fantasmais jamais. Pourtant c’était vrai. Je l’aimais, j’avais peu d’exigences et il suffisait à mon bonheur. Je n’avais nul besoin de faire participer un tiers à nos ébats ni encore moins d’échangisme. Il avait du mal à concevoir que je n’éprouve même pas le besoin de me caresser.
    
    Au début, je ...
    ... l’avais soupçonné d’avoir par ce biais l’envie de connaître physiquement d’autres femmes. Mais ce n’était même pas ça, au contraire il rêvait de me voir entre les bras d’un autre homme. Je ne le comprenais plus. Longtemps j’avais repoussé toutes ses propositions salaces. Toutes plus dérangeantes les unes que les autres. Jusqu’à ce que de guerre lasse j’aie accepté cette sortie en club.
    
    Assortie de conditions : y aller pour voir et j’avais ajouté :
    
    – Ne compte pas sur moi pour faire quoi que ce soit.
    
    Quelle révélation que cette nuit pour moi ! Moi si prude habituellement, contaminée par la débauche environnante, je m’étais laissée aller à sucer un inconnu, y prenant un plaisir intense. Je m’étais donnée ou plutôt j’avais été prise par des étrangers, comblée par tous mes orifices. Nue et sans la moindre pudeur je m’étais offerte à qui le voulait et mon cœur avait été chaviré d’un bonheur ineffable physique et surtout mental !
    
    Comment avais-je pu me laisser aller de cette manière ?
    
    M’abandonner sans la moindre honte à des inconnus ?
    
    L’alcool sans doute et l’ambiance du lieu avaient sans doute fait surgir la part d’ombre qui couvait en moi. Une salope en puissance.
    
    Depuis, je n’avais que ces images en tête. Ces mains qui me palpaient, ces sexes qui m’enfilaient, ces bites qui m’embouchaient, ce sperme qui me débordait de partout. Et par-dessus tout, ces grognements, ces geignements de bêtes en rut.
    
    Le plaisir total que j’avais ressenti à être traitée ainsi, ...
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