1. Une cure


    Datte: 28/06/2018, Catégories: fh, hagé, fagée, forêt, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral 69, fsodo, exercice, tutu, mélo, nostalgie, Auteur: Papy555, Source: Revebebe

    ... jamais prendre tout ça à la légère. Cela n’empêche pas du tout de profiter de la vie. La sensation d’avoir, pendant quelques instants, passé les meilleurs moments d’un bonheur volé, celui qui amène unPourquoi pas, à notre âge, et qui nous fait revivre.
    
    Que faire en attendant notre prochaine rencontre, sinon ronger mon frein ? Quand je vois, ce dernier jour, sa voiture se ranger sur le parking à côté de la mienne, je sens la fébrilité me gagner. Je regarde sa tenue, j’essaie de deviner ce qu’elle peut bien avoir mis dessous… Ce qui est frappant, c’est la répétition du désir sexuel. Et pourtant, le plaisir est toujours renouvelé. Puis, fugaces, les questions passent dans mon esprit : elle est si belle, vais-je être vraiment être encore un amant à la hauteur de son désir ? Je suis conscient de ma fragilité. Je sais que, sexuellement, je ne suis pas une machine de guerre ! Ce n’est pas grave, je m’en accommode.
    
    Elle fait furtivement le tour de la voiture, de peur d’être aperçue par des voisins, d’autres curistes. Nous retrouvons alors, derrière la porte fermée d’un véhicule, notre étreinte de l’autre jour. Discrètement, elle m’entraîne dans son antre, tel un animal qui veut déguster sa proie.
    
    Sur le canapé, nous faisons durer le plaisir. On bavarde, on prend un café. Sa jupe est passablement relevée sur ses jambes fines, gainées de soie. Bas ou collant ? Elle m’y laisse poser la main, m’embrasse à nouveau. Ses cuisses s’écartent d’elles-mêmes, mais je ne remonte pas ...
    ... encore plus haut. Elle adopte une position plus décontractée, sur le côté, une épaule appuyée sur le dossier, plus chatte. Pour cette dernière fois, elle préfère la chambre. Elle m’y entraîne par la main.
    
    Debout devant le lit, nous sentons que tout se met en branle et que plus rien ne peut nous arrêter. Je la dépouille de presque tout, découvre des bas et un porte-jarretelles, un petit soutien-gorge d’adolescente. Il me plaît. Une fois débarrassés de leur enveloppe, ses seins se tendent instantanément sous mes doigts. Les tétons très durs, avec leurs aréoles fines, se dressent, loin devant. Même ton sein abîmé répond à l’appel. Sous la succion de mes lèvres, il s’érige et tes gémissements commencent à résonner dans la pièce. J’adore ces petits bouts de chair sombre ! Je prends le temps d’explorer la peau de ton joli fessier, le creux de tes reins, la jointure de tes cuisses et de ton bassin avant de faire tomber ta culotte à tes pieds.
    
    Je suis nu également lorsque je m’accroupis devant toi, avec sous les yeux, le triangle aigu et fin de ta motte à peine voilée par un léger duvet brun. J’y aperçois aisément ta fente entre les grandes lèvres qui remontent très haut sur le pubis. J’y pose presque religieusement un doigt pour l’écarter et aller y chercher la manifestation de ton plaisir. Lorsqu’il revient de son voyage, un mince fil transparent et liquide le relie encore un instant au velours qu’il vient de découvrir.
    
    Un troisième larron commence à se manifester et sort ...
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