1. Une cure


    Datte: 28/06/2018, Catégories: fh, hagé, fagée, forêt, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral 69, fsodo, exercice, tutu, mélo, nostalgie, Auteur: Papy555, Source: Revebebe

    ... pour une cueillette de champignons.
    
    Sur le retour, j’étais dans tous mes états. Cela avait été d’une intensité rare mais curieusement, rien n’avait été du domaine du sentiment… pourtant c’est ce que je cherchais. Et je suis persuadé, aujourd’hui, que c’est la raison pour laquelle je n’ai eu aucune retenue avec elle par la suite. Cependant, jamais je ne fus irrespectueux, humiliant ou violent : cela me fait horreur. Nous y avons chacun trouvé notre compte, voilà tout.
    
    J’ai toujours aimé aller me promener en forêt, l’ambiance qui y règne, le chant des oiseaux, les craquements du bois ou les brindilles qui se brisent à chaque pas, le contraste du paysage et la clarté filtrant entre les feuilles et les branches. Forêt de feuillus ou de conifères, cela m’indiffère, car il y a toujours le mystère de notre enfance : sorcière, méchant loup, obscurité précoce et sonorité relevant parfois du mystère. C’est donc tout naturellement que j’aime m’y rendre avec mes chiens, emprunter les sentiers damnés puis, suivant la tenue vestimentaire, bifurquer vers une clairière ou couper à travers bois.
    
    La proposition faite la veille de chercher des champignons avec Agnès me permit aller dans cet univers où la magie de la nature fit le reste. La laisser ouvrir le passage pour observer ses fesses se dandiner, puis inverser les rôles et avoir le plaisir d’observer sa poitrine lorsqu’elle se baissait en évitant une branche un peu trop basse, la prendre doucement dans mes bras pour l’aider à se ...
    ... dégager d’une mauvaise passe et rapprocher nos corpspresque involontairement.
    
    C’est de cette façon que tout a commencé. Elle était vêtue d’un bas de survêtement en coton vert bouteille et d’un body jaune d’or, recouvert de sa veste de survêtement. Elle avait prévu un goûter avec de la boisson dans un sac de randonnée. La journée était splendide et nous avions une bonne partie de l’après-midi de ce jeudi pour effectuer notre petite balade. Après une heure de marche, elle m’a demandé une pause tandis que nous passions devant une haie, bordant une petite clairière ensoleillée. Quelle ne fut pas ma surprise de la voir sortir de son sac un drap de bain qu’elle étendit sur un lit de mousse, ôter sa veste de jogging, prête à établir son camp de base ! Après avoir discuté de tout et de rien, la conversation dévia sur nos relations : moi, marié, à la recherche de sentiments, elle, recherchant l’âme sœur.
    
    Un long silence interrompu par le chant des oiseaux s’installa jusqu’à ce qu’un bruit sec nous surprît et l’apeurât. Mes chiens ! Elle eut pour réflexe de se coller contre moi, en me demandant de rester près d’elle. Ce rapprochement de nos corps m’incita à observer ses yeux et doucement nos bouches se touchèrent, nos yeux se fermèrent, nos langues se rejoignirent pour un baiser tout en douceur. Je sentais ses mains sur mon épaule, le baiser devint passionné, mes mains caressèrent sa joue puis son épaule presque nue. Je me rappelais notre premier baiser. Y avait-il le sentiment ...
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