Une cure
Datte: 28/06/2018,
Catégories:
fh,
hagé,
fagée,
forêt,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
69,
fsodo,
exercice,
tutu,
mélo,
nostalgie,
Auteur: Papy555, Source: Revebebe
... sollicitent ton bouton de plaisir. Pardon, pardon, mille fois pardon. Alors ma bouche descendant vers ta fente ouverte, béante de plaisir, je recueille nos saveurs mélangées tandis qu’un doigt s’y glisse pour appuyer sur la racine de ton plaisir. Spasmes ne voulant plus s’arrêter, ton bassin se lève et retombe, tu cries ta joie, ton bonheur, ma bouche aspire ce petit bout de chair, tes sens t’abandonnent, tu jouis, plaisirs retrouvés, me redonnant une vigueur nouvelle.
Alors, pantelante, le souffle court, la mèche de cheveux collée au front par la sueur, les seins hérissés, le ventre creusé par le plaisir neuf et encore en vagues, tu me tends subtilement ta croupe et quémandes mon membre dans ton petit trou, cet astre sombre qui m’attire inexorablement. Je le caresse doucement, de toutes les manières possibles et imaginables. Dès le début, ce désir m’avait oppressé. Il se manifestait de nouveau, plus vif que jamais. L’attirance pour cette partie était montée doucement. Tu le comprends, tournes ton visage défait vers moi :
— Tu peux, par-là, si tu veux… Je veux bien.
— Si j’entre par-là, je ne vais pas tenir longtemps, tu sais ?
— Ce n’est pas grave. Viens…
Elle m’ouvrit la porte de ce couloir étroit. M’aidant d’une main autour de ma hampe bouillonnante, je progressai vers cette région, peut-être vierge pour elle et aux sensations inconnues. J’y allais à tâtons, sans brusquerie aucune. Un enserrement parfait, divin. Elle se crispa légèrement. Je continuai. Au ...
... fond, tout au fond. Puis ce fut la sensation d’un évasement, tout au bout. J’étais complètement fiché en elle, ne bougeant plus. Le gland s’est libéré de l’étreinte du premier passage. Et comme je l’avais prévu, je sentis les prémices du torrent qui s’annonçait.
De légers va-et-vient, puis d’autres, de plus en plus forts, cherchant à investir ton ventre au plus profond. Je serre tes hanches de toutes mes forces, donnant libre court à ma fantasia pendant que tu te caresses. Ma main masse un sein gonflé, torturant sa pointe, nous sommes seuls dans cet univers de plaisir.
Tout se termine par notre apothéose, éclatante, éclaboussante, lorsque ne me contrôlant plus je laisse ma hampe libérer son petit jet. Tu accompagnes chaque contraction, projetant mon jus de lucre dans ton intestin d’une respiration caractéristique et d’un tressautement qui décuplent mon ivresse. Je ne touche plus terre. C’est interminable, presque douloureux. Ta jouissance accompagne la mienne, nous ne faisons plus qu’un. Cet orgasme nous laisse hors d’haleine, le cœur battant la chamade, les jambes flageolantes de terribles tremblements qui nous secouent tout le corps.
Alors, je m’écroule sur ton dos, aussi exténué que toi et nous restons là, l’un dans l’autre, sans bouger. Heureux.
Une porte nouvelle s’ouvrait devant moi. Malgré le peu de temps qui restait, je me suis convaincu que le sexe, c’est très sérieux. Les sentiments mènent au sexe et le sexe mène aux sentiments. Je veux dire qu’il ne faut ...