1. Une cure


    Datte: 28/06/2018, Catégories: fh, hagé, fagée, forêt, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral 69, fsodo, exercice, tutu, mélo, nostalgie, Auteur: Papy555, Source: Revebebe

    Rencontré en cure, ce petit bout de femme m’avait tout de suite enflammé l’esprit. Peut-être six ou dix ans de plus que moi, d’un charme élégant, elle avait le don de provoquer des sensations troubles au creux de mon corps dès qu’elle m’approchait ou m’adressait la parole. Toute menue, sa silhouette était un appel à la volupté. Elle portait de vaporeuses jupes à fleurs d’où s’échappaient des jambes satinées. Sa petite poitrine se devinait sous les chemisiers. Seuls quelques pulls moulants (sûrement portés à dessein certaines fois) arrivaient parfois à en sculpter la forme. Malgré son âge, elle avait un petit cul formidable, comme fraîchement sorti du moule. Une splendeur naturelle.
    
    Dès notre première rencontre, dans ce hall d’entrée, elle avait cherché le contact. Sa voix haute dominait le tumulte. Ses yeux avaient tout de suite brillé et les miens s’étaient remplis de cette petite lumière de désir. Quelquefois, avec certaines personnes, c’est une chose qui se manifeste à la seconde où la voix prend une intonation particulière, où le corps prend des attitudes singulières. Cela ne se décrypte pas de manière intellectuelle, mais c’est un instinct enfoui au plus profond de nous-mêmes, sûrement depuis la nuit des temps, qui remonte à la surface.
    
    Malheureusement, tout cela se déroula au milieu d’une assistance de curistes qui ne permettait nullement l’écart que nos pensées du moment nous auraient fait commettre. De toute façon, nous n’allions pas attendre longtemps avant de ...
    ... connaître là où les sentiments rejoignent les ébats charnels.
    
    Sous un prétexte futile, elle m’invita un après-midi, acceptant la présence de mes chiens dont je ne me sépare jamais. Je la trouvai seule. Nous avons juste parlé, lors de cette longue promenade sur les sentiers du fer. Ce n’est qu’avant de partir que, n’y tenant plus, elle m’enserra brusquement dans ses bras, m’offrit ses lèvres et sa bouche dans leur plénitude. Je goûtai avec gourmandise cette délicieuse femme, dont le corps s’agrippait au mien avec une ardeur troublante. Nos lèvres se séparèrent, luisantes, puis se joignirent à nouveau, cherchant dans un souffle fébrile à s’imprégner du goût de l’autre. Étroitement serrés, nous n’arrivions pas néanmoins à cesser nos jeux de langues et de salive. J’emprisonnai son visage entre mes mains et replongeai sans vergogne vers son palais et ses papilles avides, tandis que son étreinte me gardait désespérément contre elle. Je sentais avec quelle force elle voulait m’avoir à elle, me garder contre son ventre. Sa pression s’exerçait au creux de mes reins.
    
    Impossible, en cette fin d’après-midi, d’aller plus loin et de nous laisser entraîner par nos sens à vif : il fallait que je rentre, ma logeuse étant mère-poule. Il fallut bien envisager la séparation, la frustration. Nous savions l’un et l’autre que nous devions impérativement ne pas laisser le temps nous séparer trop longuement, profiter de cette semaine qui nous restait. Nous en convînmes, et rendez-vous fut pris ...
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