1. Retour de Catherine de Révilly et de ses compagnes


    Datte: 24/06/2018, Catégories: fh, fhhh, amour, vengeance, facial, Oral pénétratio, fsodo, Partouze / Groupe historique, Auteur: Bernard Nadette, Source: Revebebe

    ... laisse-t-elle entendre en faisant commerce, qu’ayant charge de sa grand-mère et de ses jeunes frères et sœurs, depuis le décès de ses parents, elle ne serait pas hostile à rentrer chez elle avec un capital plus rondelet que son stock diminuant le laisse présager. Que pour ce remplir son escarcelle, elle ne serait pas hostile à accepter le concours de personnes qui chercheraient de la compagnie pour rompre la monotonie de la vie de camp.
    
    Plusieurs soldats veulent se dévouer à secourir l’orpheline. Elle ne refuse pas, mais prétexte un autre rendez-vous déjà pris pour éluder. Ce stratagème fonctionne, jusqu’au moment où un sergent lui dit que comme elle est attendue, il se contentera d’une pipe. Sa future rencontre patientera un peu cela n’en sera que meilleur.
    
    Elle essaye de passer outre, l’homme annonce qu’il va la suivre et attendre son tour. Elle tente alors en discutant le prix de le faire renoncer. Rien n’y fait. Elle préfère capituler.
    
    Le soldat l’entraîne vers un endroit discret. Docile elle le suit, puis en un éclair pense qu’il vaut mieux, puisque l’on en est arrivé là, ne pas le faire en catimini. Cela accréditera son histoire de manière indiscutable. Elle attrape un sceau et attire l’homme derrière une haie, qui pour dire vrai ne dissimule rien. Elle s’agenouille, ouvre la culotte et en sort le sexe. Elle le nettoie, ce qui n’est pas un luxe, à l’odeur dégagée. Elle commence par le caresser, puis résignée ouvre la bouche et le gobe.
    
    Elle ne l’a jamais ...
    ... fait, mais a vu plusieurs reprises, comment opéraient, à l’institution, les domestiques des glaisanes avec Louis. Elle ne doit pas s’y prendre trop mal, car rapidement la chose plutôt flaque qu’elle avait extraite devient rigide. Elle s’active, suçant, léchant, s’aidant de la main.
    
    Comme elle l’avait prévu, sa prestation à cet endroit plutôt ouvert attire des spectateurs. Ils commencent par être une demi-douzaine, mais leur nombre augmente, rapidement, ils sont plus d’une vingtaine. Des paris s’ouvrent sur le temps qu’elle mettra à le faire se vider. Des encouragements fusent. Elle voudrait se sauver, disparaître, tant la honte la submerge, mais cela ruinerait ses plans. Aussi poursuit-elle, avec une telle conviction que bientôt elle sent le membre tressaillir dans sa bouche et le foutre s’écraser au fond de sa gorge. Au bord du haut-le-cœur, elle recrache aussitôt. Elle essuie le membre revenu à sa consistance initiale et le remet en place. Le sergent lui lance quelques pièces. Elle les ramasse. Elle va pour se relever quand une main l’arrête. Un autre homme se présente devant elle le sexe déjà sorti.
    
    — Ne t’arrête as en si bon chemin, la belle.
    
    Elle va pour refuser, puis pense que des violeurs seront probablement attirés par ce genre de spectacle. Elle lave le membre, demande son dû et se remet à l’ouvrage sans barguigner avec application. De nouveau les paris s’engagent et des exhortations crues sont vociférées. Elle œuvre encore, qu’un autre soldat entreprend de se ...