Retour de Catherine de Révilly et de ses compagnes
Datte: 24/06/2018,
Catégories:
fh,
fhhh,
amour,
vengeance,
facial,
Oral
pénétratio,
fsodo,
Partouze / Groupe
historique,
Auteur: Bernard Nadette, Source: Revebebe
... passer à l’arrière-plan la gêne occasionnée par sa blessure à la cuisse. Elle sent son con devenir humide, puis suinter. Elle apprécie cette chaleur qui irradie tout son bas-ventre. Elle a parcouru presque deux lieues quand une sorte de bouillonnement partant de sa vulve la submerge, et rayonne dans tout son corps. Cet éblouissement la surprend, et elle doit se cramponner au pommeau de sa selle pour ne pas vider les étriers.
Elle met une bonne minute à recouvrer ses esprits. En se caressant, elle s’était déjà donné du plaisir, mais jamais rien d’une telle intensité. Elle en reste ébaubie. Elle se sent mouillée et descend de cheval. Elle constate qu’elle a littéralement inondé ses cuisses et jusqu’à la selle. Elle ôte son pantalon mouillé, retire l’étui de sa cachette et s’essuie. Sa chatte et son bouton sont très sensibles, de les essuyer lui donne des frissons. Elle n’insiste pas trop et sèche sa selle les fesses à l’air. Avant de remettre des vêtements secs, des féminins, car elle n’a pas de rechange en masculin, elle hésite, puis se décide à remettre les pièces dans leur cache. Elle se dit que si ce qui vient d’arriver doit se reproduire, elle n’y trouverait rien à redire, car la chose est voluptueuse, mais que cette fois-ci elle ne serait point surprise.
Une fois vêtue de frais, elle remonte en selle. La nouvelle chevauchée n’a pas les mêmes effets sur ses sens. Elle procure une simple chaleur de bon aloi, sans plus. Le milieu de la nuit est passé, quand elle ...
... décide d’abandonner sa monture et de poursuivre à pied. Elle la renvoie en direction du camp. Elle dissimule ses vêtements masculins et se met en route en choisissant de passer par les sentiers plutôt que par les grands chemins.
Un peu avant l’aube sa cuisse la tiraillant quand même un peu elle décide de se reposer dans un bosquet touffu. Il est presque midi quand des voix la tirent du sommeil. Ce sont des paysans qui se rendent aux champs. Elle se lève un peu courbatue et s’éloigne en catimini.
Elle progresse lentement vers les armées glaisanes, jouant son rôle de mercière. Le soir, elle couche dans des granges ou des étables au bon vouloir de paysans hospitalier ou à l’auberge si aucune autre opportunité ne se présente.
Elle met plus de dix jours à parvenir à destination. Une seule fois un fermier s’est montré pressant, l’a coincée contre un mur et embrassée. Elle a dû se résoudre à lui coller un pistolet sous le nez pour le calmer. Elle a par contre la chance de ne pas croiser de soldats en maraude.
En arrivant à proximité des campements, elle choisit de coucher dans les auberges, lieux propices pour glaner des renseignements, d’autant que des militaires y résident souvent. Elle met une semaine à repérer le régiment qui l’intéresse.
Cela fait se pose le problème de rester suffisamment pour trouver les hommes qu’elle cherche. En tant que colporteuse, elle peut difficilement rester au même endroit très longtemps. Cela pourrait éveiller des soupçons. Aussi ...