1. Retour de Catherine de Révilly et de ses compagnes


    Datte: 24/06/2018, Catégories: fh, fhhh, amour, vengeance, facial, Oral pénétratio, fsodo, Partouze / Groupe historique, Auteur: Bernard Nadette, Source: Revebebe

    ... fait sèchement rabrouer par Louise de Vaudémont, une autre des anciennes prisonnières.
    
    La demoiselle, fille d’un commerçant aisé, n’a jamais jusque-là quitté sa province. Elle est fascinée par la cour royale et d’autant plus qu’un marquis, Alain Bricard, marquis de La Tour Duchêne, s’intéresse à elle. Malgré les avertissements de ses compagnes, elle se laisse conter fleurette, en leur affirmant que tout cela n’est que badinage, mais ce ne sont point les vues du marquis qui n’a aucunement l’intention de se contenter d’une la platonique compagnie. Surtout qu’il a parié une somme rondelette qu’il la mettrait dans son lit. Il ne peut se permettre de perdre après l’échec avec Louise qui lui a déjà coûté un nombre respectable de pièces d’or.
    
    Aussi ne recule-t-il devant rien pour parvenir à ses fins, de la flatterie et des promesses, qui ont l’avantage de ne rien coûter et plus quelques menus cadeaux. La donzelle, malgré ce qu’elle a hautement affirmé à ses compagnes, laisse de plus en plus de libertés à monsieur de La Tour Duchêne. Au début elle n’autorise que de chastes baisers sur la joue, mais ne proteste pas quand ceux-ci glissent vers ses lèvres. Bientôt des mains flattent son décolleté, avant de s’y introduire et faire sortir de leur écrin des tétins de bonne taille et de belle tenue. Les timides protestations de la belle n’empêchent pas le marquis de les cajoler, les embrasser, les sucer. Elle goûte tant cette médecine qu’elle le laisse bientôt la pratiquer à ...
    ... loisir.
    
    Une fois engagée sur voie, il devient difficile pour Antoinette-Marie d’empêcher son suborneur de pousser son avantage. Après le corsage, c’est sous ses jupes qu’elle l’autorise à glisser sa main. Pendant quelque temps, elle réussit à limiter les privautés accordées à Alain au doigté de son minou, mais prenant de plus en plus de plaisir à la chose, elle finit par se laisser convaincre de ne plus seulement pratiquer dans les bosquets déserts du parc ou les couloirs infréquentés du château, où malgré tout subsiste toujours la possibilité d’être surpris. Ainsi finit-elle par accepter de suivre le marquis dans ses appartements où il lui fait valoir qu’ils seraient plus tranquilles.
    
    La première fois qu’elle l’y suit, il se contente de la trousser et de la caresser. Si la seconde commence comme la première, par contre après l’avoir bien chauffée, il la dévêt et lui fait un broute-minou qui met à la jeune fille des étoiles dans les yeux. À la troisième visite, il n’a point à la défrusquer, c’est elle même qui procède dès son entrée. Une fois qu’elle est allongée sur le lit, comme ci-devant, il la caresse, la pelote, la lèche, la suce. Quand il voit qu’elle est bien partie, il s’interrompt. Elle en est fort dépitée. Il se redresse pour l’embrasser, lui faisant au passage goûter son jus de plaisir. Il ne limite point à cela.
    
    Il avait profité qu’Antoinette-Marie ait les yeux tournés vers le septième ciel, par le suçage de son bouton, pour sortir son vit. Tout en prolongeant le ...
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