Retour de Catherine de Révilly et de ses compagnes
Datte: 24/06/2018,
Catégories:
fh,
fhhh,
amour,
vengeance,
facial,
Oral
pénétratio,
fsodo,
Partouze / Groupe
historique,
Auteur: Bernard Nadette, Source: Revebebe
... d’initiative et votre bravoure ont évité que nous nous trouvassions dans une situation plus que délicate. Ces damnés glaisans s’attendaient à nous surprendre. Ils ont engagé le combat, car j’avais organisé une certaine confusion de notre première ligne, pour leur faire croire que leur plan avait partiellement réussi et que nous n’avions peu le temps de nous mettre en ordre de bataille. Quand ils ont compris que ce n’était pas le cas, ils ont préféré retraiter de peur de se faire prendre à revers par les corps qu’ils avaient contournés. J’ai une nouvelle qui va rendre fière votre famille, le capitaine va reconstituer sa compagnie dont vous serez désormais le premier lieutenant.
Catherine, qui aurait plutôt souhaité que l’on l’oublie, ne s’attendait pas à cela, elle se trouble et bafouille qu’elle n’en est pas digne.
— J’ai déjà signé votre brevet lieutenant et un messager va le porter pour le contreseing de Monsieur le Secrétaire d’État à la Guerre.
Elle se confond en remerciements, tout en se rendant compte que tout son stratagème va bientôt être découvert. Elle va devoir s’éclipser au plus vite, si elle veut pouvoir poursuivre son plan.
Le soir même, malgré sa cuisse qui la fait souffrir, elle prépare son départ. Elle vole quelques effets féminins à des ribaudes ou des cantinières qui suivent l’armée. Puis elle décide d’écrire une lettre à Monsieur de Ferrand-Tonnerre.
La jeune femme sable sa lettre et la clôt. Elle la met en évidence sur son lit. Cela fait ...
... elle se prépare. Elle prend avec elle ses deux petits pistolets, de la poudre et des balles, deux couteaux, dissimulant le tout dans ses vêtements. Elle emporte aussi les habits de femme qu’elle a dérobés. Le baluchon, qu’elle a constitué discrètement contenant aiguilles, fils, rubans, pour se faire passer pour une mercière ambulante et son argent. Elle répartit celui-ci, d’une par une bourse dans laquelle elle place sa menue monnaie et quelques pièces d’argent, et d’autre part une cinquantaine de pièces d’or dans un étui de presque six pouces. Il lui faut trouver un endroit sûr. Ce ne peut être le chapeau qui peut se perdre trop aisément. Elle ne peut le mettre avec ses armes, cela pourrait entraver la prise rapide de celles-ci. Elle essaie de le glisser dans ses chaussures, mais cela est par trop gênant. Une idée lui vient, elle hésite puis se décide, elle écarte les cuisses et s’enfonce l’objet dans la chatte. L‘endroit est sec et l’opération s’avère désagréable. Elle n’insiste pas, réfléchit quelques secondes et s’empare de la chandelle de suif. Elle en frictionne l’étui abondamment et recommence. L’opération est beaucoup plus aisée, cela rentre sans problèmes. Ne plus être demoiselle peut avoir des avantages.
Elle sort de la tente et va seller un canasson quelconque, inutile de risquer perdre une bonne monture. Cela lui fait une curieuse sensation d’avoir son intimité ainsi occupée, surtout qu’à chaque pas une sorte de vibration se produit. Elle enfourche le cheval et ...