1. La nuit, toutes les chattes sont grises


    Datte: 22/06/2018, Catégories: f, fh, fépilée, jardin, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, confession, Auteur: Anne désir, Source: Revebebe

    ... prend possession de mes seins. Il relève encore ma robe, je lève les bras, le bout d’étoffe se retrouve coincé dans la ceinture de son pantalon. Je surveille qu’elle reste bien accessible, au cas où…
    
    Comme un fétu de paille, il me soulève et m’assoit sur le capot d’une voiture, puis saisissant mon clitoris dans sa bouche, il le suce comme un bonbon. Je relève mes jambes sur mes seins, j’adore cette position. Il glisse deux doigts dans mon vagin et tout en en caressant l’entrée, il continue de sucer mon clitoris. Ça y est, je prends du plaisir, j’explose dans un râle libérateur.
    
    Encore sous le coup de ce plaisir brutal il me marmonne à l’oreille :
    
    — Je reviens avec la voiture.
    
    Et il s’enfuit. Rapidement, je déplie mes jambes et me redresse, je hurle
    
    — Reviens !
    
    Je cours vers le portail.« Maudites chaussures ! » D’un coup je suis happée par la lumière.« NON ! » Il est parti et je suis seule, nue, nue comme un ver !« Vite revenir vers les voitures et me mettre à l’abri ; il va voir ce qu’il va voir, ce con ! » Je retire mes chaussures ; la sensation du sol tiède et la peur d’être surprise réveillent mes sens. Finalement, quelles sensations ! Bon, en attendant cet imbécile je m’accroupis à l’abri d’une voiture, je fulmine. Je ne risque pas grand-chose : je suis bien protégée par la voiture et par la nuit. Il n’y a pas un bruit, j’ai vraiment l’impression d’être seule au monde.
    
    Au fil des minutes d’attente la peur s’estompe ; je m’enhardis et fais même ...
    ... quelques pas dans la cour, pieds nus pour me donner des émotions. Je vais même jusqu’à m’allonger au centre de la cour, j’écarte les jambes et imagine que quelqu’un me surprend dans cette position ; je m’amuse à me faire peur. Finalement, j’aime cette situation. J’en suis tout excitée, je sens mon sexe s’humidifier à nouveau, et après un passage furtif de ma main sur mes lèvres, je me rends compte que mon clitoris est toujours bandé. Toujours jambes écartées, yeux fermés, j’entreprends de me caresser.
    
    Alors que monte mon plaisir, un bruit de porte me fait ouvrir les yeux ; j’aperçois de la lumière au rez-de-chaussée. Je me relève et cours vers les voitures. Une porte s’ouvre, un homme est sur le perron de l’immeuble. Mon cœur bat la chamade ; il me faut mieux me cacher. Je recule à l’arrière de la voiture. J’ai failli me faire surprendre jambes écartées au centre de la cour ! J’entends des pas et une portière. Ouf, il prend la voiture la plus éloignée. Il allume les phares, démarre.« Ça y est, il part, je suis sauvée. » Mon cerveau survolté analyse scrupuleusement tout ce qui se passe. Il passe le portail ; la faible lumière du clignotant éclaire mon refuge. Il est parti. Tiens, le clignotant continue. Un grincement ; c’est le portail : il se ferme.« Vite, fuir de ce piège ! » Juste le temps d’attraper mes chaussures, je cours et me réfugie dans l’encoignure gauche du portail. Je me retrouve en pleine lumière, juste protégée par un pilier large de soixante centimètres. Dans mon ...