1. La nuit, toutes les chattes sont grises


    Datte: 22/06/2018, Catégories: f, fh, fépilée, jardin, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, confession, Auteur: Anne désir, Source: Revebebe

    ... électrique.
    
    En effet il y a trois ans, j’ai entamé une épilation au laser, au début uniquement pour le maillot, mais rapidement j’ai fait épiler l’ensemble de mon corps. Il ne me reste qu’un minuscule trait sur le pubis dessiné par mon mari (il voulait que je fasse tout enlever, mais je tenais à me rappeler que je suis brune). Je ne trouve pas qu’un sexe glabre soit très esthétique, mais c’est quand même très agréable et très pratique (essayez, surtout le SIF).
    
    Il me demande de passer une petite robe de plage en soie, dos nu, très légère et très courte (genre nuisette). Pour compléter ma tenue, il me présente son dernier cadeau : des mules plate-forme en faux bois (cinq centimètres de plate-forme !) avec des talons aiguille de quatorze centimètres. Il doit me trouver trop petite : lui mesure 1,85 m et est plutôt « baraqué » (nos amis disent que je suis sa moitié). Elles sont jolies, car en cuir marron, mais quand même très sexy. La plate-forme ramène la hauteur de talon à neuf centimètres et fait paraître mes pieds plus petits qu’ils ne le sont en réalité (je chausse du 35). Je les ai même mises pour faire les courses ; c’est pas mal, avec je tutoie le mètre soixante : pratique pour attraper le paquet de pâtes en haut de la gondole ! J’accepte de sortir ainsi vêtue à condition que nous n’allions pas dans des lieux très fréquentés.
    
    Je ne prends ni mon sac ni mes clefs (question d’habitude). Nous sortons sur le palier, et lors de la fermeture de la porte je ressens ...
    ... ma vulnérabilité : l’étoffe est si légère que j’ai l’impression d’être nue.
    
    Petit contrôle dans la glace du couloir de l’immeuble ; ma robe n’est pas trop transparente et, bien que très courte, reste correcte pour une robe d’été. Après avoir récupéré la voiture, nous partons vers le centre-ville.
    
    Après dix minutes nous la stationnons dans une petite rue. Je me sens bien, et mon mari est plein d’attentions. De temps en temps il me serre contre lui en remontant ma robe. Il me caresse les seins – ce qui les fait pointer – et mon clito érigé est au bord de l’explosion. Après une petite demi-heure de promenade, il m’entraîne dans une cour d’immeuble qui sert de parking. Nous connaissons bien cette cour car elle est classée monument historique et fait partie des visites guidées de la ville (nous l’avions déjà visitée, mais de jour). Un portail en bois monumental que j’ai toujours vu ouvert nous accueille.
    
    Trois voitures sont garées, les appartements des immeubles alentour sont éteints : pas étonnant à cette heure, il s’agit principalement de cabinets médicaux. Le contraste entre cette cour très sombre (car dépourvue d’éclairage) et la rue fortement éclairée est surprenant. Le sol de la cour est dallé de gros pavés (pas facile de tenir avec mes talons). Les caresses reprennent de plus belle, ma robe est relevée au-dessus de mes seins ; je profite de ses caresses, je me laisse faire. Sa bouche a remplacé ses mains, il aspire mon sexe, le caresse de sa langue, puis sa bouche ...
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