1. La nuit, toutes les chattes sont grises


    Datte: 22/06/2018, Catégories: f, fh, fépilée, jardin, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, confession, Auteur: Anne désir, Source: Revebebe

    Bonjour,
    
    Je me présente : je m’appelle Anne, j’ai vingt-sept ans et je suis mariée depuis cinq ans avec Jérôme qui est responsable de production dans une verrerie ; quant à moi, je suis responsable achats dans une PME de mécanique/maintenance industrielle. C’est un poste qui demande du caractère, de la détermination et beaucoup de connaissances techniques. Nos salaires nous permettent de vivre confortablement (nous cherchons un terrain pour faire construire une maison).
    
    Nous ne sommes que deux femmes au milieu de quarante hommes ; je n’ai aucun problème pour me faire respecter (malgré mon petit gabarit), en effet je mesure 1,48 m et suis menue. J’ai les cheveux mi-longs que je laisse libres. L’année dernière, j’ai fait pratiquer une augmentation mammaire ; je suis passée d’un 75A à un 85C. J’aime beaucoup mes seins, car leur forme est quand même naturelle et mes aréoles sont restées petites et très sensibles. Jusqu’à l’aventure que je vais vous conter, je pensais n’avoir que peu de fantasmes (mon mari en a pour deux !).
    
    Dès que je le peux, je ne porte pas de sous-vêtements (pourtant mon homme m’en offre régulièrement de splendides, mais les sentir me gêne). Je suis assez sportive, je pratique surtout des sports d’équipe ainsi que de la danse modern-jazz (j’ai pratiqué la danse classique durant quinze ans). Nous habitons un appartement dans une petite ville du sud de la France à dix kilomètres de la mer. L’été nous pratiquons le naturisme sur une plage sauvage ...
    ... presque déserte, car difficile d’accès. Le fait d’être nue est pour moi un véritable déclencheur de sensations, un appel au plaisir ; aussi, à chaque fois Jérôme me fait l’amour sur cette plage.
    
    Entre le farniente et le fait que je suis méditerranéenne d’origine, je suis vite bronzée.
    
    Un des fantasmes de mon homme est de m’exhiber. Il voudrait, je pense, que je me promène nue tout le temps et partout. Plusieurs fois, il m’a fait me promener dans des tenues transparentes sans sous-vêtements en ville (de nuit, quand même). Je tire de plus en plus de plaisir de ces exhibitions. Au début, j’étais inquiète de la réaction des passants, mais finalement ayant toujours reçu des regards attendris, voire des compliments, je suis décomplexée. Dans ces situations, mon excitation est à son apogée ; petit à petit, je prends plaisir à m’exhiber.
    
    Ce soir du mois d’août, il était question d’aller faire un petit tour en ville (comme presque tous les soirs en été, c’est un « rituel »). C’était un vendredi, il devait être 23 h et il faisait encore très chaud ; les murs de la vieille ville rayonnaient la chaleur accumulée durant la journée. L’été avait débuté fin mai et n’en finissait pas. La nuit, la température ne descendait pas en dessous des 27° C en ville, et il faisait 32° C dans les appartements. Je passe une robe, des talons et m’apprête à sortir quand mon mari m’appelle dans la chambre. Là, il me fait me déshabiller et me rase les trois poils qui restent sur mon pubis avec son rasoir ...
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