1. L'anneau


    Datte: 22/06/2018, Catégories: fh, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, pénétratio, attache, piquepince, Auteur: Anonyme secrète, Source: Revebebe

    ... que c’était juste un peu cuisant, et que je sentais le poids de l’anneau, qui me semblait lourd. Il s’empara d’un miroir qu’il orienta de sorte que je puisse me voir. Je fus bouleversée par l’obscénité de ce sexe béant et humide, barré par un anneau d’or que je n’aurais pas imaginé si grand ni si épais. Je compris pourquoi il me semblait si lourd…
    
    Quand je demandai à mon amant de détacher mes jambes, il me dit simplement non, et ce refus exacerba encore mon désir. J’avais envie, que dis-je, j’avais besoin qu’il me prenne, qu’il me remplisse, qu’il s’empare de mes seins et les malmène. Au lieu de quoi il alluma une cigarette, et continua à me regarder. J’avais l’impression que ses yeux me fouillaient, me pénétraient. Jamais je n’avais désiré un homme à ce point, je me retenais pour ne pas le supplier de me prendre.
    
    La demi-heure écoulée, il me libéra tranquillement et me tendit ma jupe. Quand je me mis debout, je sentis l’anneau qui étirait ma lèvre, et ballottait contre ma cuisse. La douleur se fit plus présente, le poids du bijou n’était pas négligeable et tirait sur le trou.
    
    Nous sortîmes, main dans la main, silencieux. En marchant, je sentais l’anneau qui cognait contre mes jambes, et je regrettais de n’avoir pas mis de string. Et je mouillais tellement que mes cuisses étaient inondées. Mon amant s’arrêta pour m’embrasser, remonta légèrement ma jupe, caressant le haut de mes jambes sans souci des passants. Je le sentais bander et mon désir hurlait en moi. Il lut ...
    ... dans mes yeux et murmura :
    
    — Tu vas voir…
    
    Derrière nous la porte d’un vieil immeuble était entrebâillée. Il la poussa et m’entraîna à l’intérieur, où il faisait sombre et frais. À droite un groupe de boîtes aux lettres, devant nous un escalier en bois, usé par les années, et agrémenté d’une rampe en fer forgé tarabiscoté. L’escalier s’envolait vers les étages, et plongeait vers la cave. Mon amant me dirigea vers le bas, nous descendîmes les marches. L’obscurité était presque complète. J’étais pressée debout contre la rampe, mon amant embrassait ma nuque, son souffle et ses baisers me rendaient folle de plaisir. Il m’ordonna de rouler ma jupe sur ma taille et je sentis son sexe dur dans son jean qu’il pressait contre mes fesses nues. Ses mains allaient et venaient sur ma fente, accrochant l’anneau à chaque passage. Il finit par faire rentrer ses doigts, j’étais si béante et trempée que je ne savais même pas combien il en mettait. Comme je commençais à crier de plaisir il plaqua sa main sur ma bouche, je léchais et je mordais sa paume. Je glissai une main derrière moi et après avoir ouvert sa braguette, entrepris de libérer son sexe qui jamais ne m’avait semblé aussi dur et aussi massif. Je voulais le caresser, mais mon désir était impérieux et eut raison de ma patience. Je m’accrochai des deux mains à la rampe au-dessus de ma tête et me penchai en avant, et enfin il me pénétra. Un de ses doigts, passé dans l’anneau, étirait doucement ma lèvre en la pressant contre son ...