L'anneau
Datte: 22/06/2018,
Catégories:
fh,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
pénétratio,
attache,
piquepince,
Auteur: Anonyme secrète, Source: Revebebe
... l’impression qu’il n’y avait plus que cette partie de mon corps qui était vivante. De mon sexe déferlaient des vagues de plaisir qui m’envahissaient complètement.
Le bruit de la porte me fit sursauter. L’homme au visage de fouine venait de rentrer et je repris aussitôt mes esprits. Je m’attendais à ce que mon amant sorte précipitamment ses doigts, mais comme il n’en faisait rien, je commençai à me tortiller pour me dégager de son emprise. Mes efforts ne firent que le pousser à s’enfoncer un peu plus, et je dus subir la honte de rester ouverte, offerte et doigtée devant la fouine, qui profitait sans vergogne du spectacle. Le regard de mon amant ne me disait que trop bien le plaisir qu’il prenait à me voir ainsi exposée, et la fierté de lui procurer ce plaisir fit couler un sang neuf dans mes veines. Je me préparai donc à rester ainsi aussi longtemps qu’il le jugerait bon.
Pendant ce temps, la fouine préparait tranquillement ses instruments, et je n’avais plus aucun doute sur le sort qui m’attendait. En effet, il s’approcha et alluma le projecteur, dont la lumière crue inonda ma chair écartée. Mon amant se décida enfin à sortir ses doigts, qu’il essuya sur mon ventre, et recula d’un pas.
Sous le regard attentif de mon amant, le pierceur s’installa entre mes jambes, et de ses doigts finement gantés, saisit une de mes petites lèvres. Celles-ci portaient bien mal leur nom, dépassant des grandes lèvres de trois bons centimètres. Il l’étira et passa dessus un coton imbibé ...
... d’un liquide froid, probablement du désinfectant. La panique me gagnait et je cherchai le regard de mon amant, mais celui-ci, fasciné par l’opération, me laissa seule… je fermai alors les yeux.
La douleur fut fulgurante et m’arracha un cri. Mais elle fut brève et laissa presque aussitôt place à une sensation de brûlure supportable. Nouvelle désinfection, et déjà l’homme rassemblait son matériel qu’il disposa sur un plateau métallique. Il expliqua alors que l’anneau ne devait jamais être retiré au cours des trois semaines à venir, et qu’il fallait le faire jouer régulièrement pour que la peau n’y adhère pas. S’adressant à mon amant, il ajouta qu’aucun poids ne devait y être suspendu avant un mois au moins, et que nous pouvions disposer de la pièce pendant la demi-heure qui venait. Sur ce, et après s’être attardé quelques instants sur mon intimité offerte, il sortit.
Plusieurs minutes s’écoulèrent, pendant lesquelles nous restâmes silencieux, moi toujours ouverte, mon amant me contemplant. En moi se mélangeaient la honte, la douleur, l’excitation, et la fierté pour le plaisir très spécial que je procurais à l’homme que j’aimais. J’avais toujours su que j’étais prête à tout pour lui, mais il m’avait si peu demandé jusque-là. Peut-être notre relation allait-elle prendre un nouveau tour ? En tout cas, j’étais à sa merci, soumise à ses envies, totalement exposée à son regard et à ses gestes.
Il ne semblait pas pressé de me libérer, et me demanda si j’avais mal. Je lui dis ...