L'anneau
Datte: 22/06/2018,
Catégories:
fh,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
pénétratio,
attache,
piquepince,
Auteur: Anonyme secrète, Source: Revebebe
... choisis un qui me semblait suffisamment farfelu pour échapper à toute tentative de mise en pratique, et lui racontai que je rêvais d’avoir une petite lèvre percée d’un anneau, un anneau suffisamment large pour qu’un homme puisse y passer le doigt. Je me gardai bien d’évoquer les nombreuses utilisations que j’avais imaginées pour l’anneau de mon fantasme, et il ne fit aucun commentaire. Plus tard il me prit sur le capot de la voiture, avec une certaine brutalité.
Cette réminiscence, au moment où mon amant me poussait doucement à l’intérieur de la boutique, fit se dérober mes jambes, et je me raccrochai à son bras. Il m’enlaça alors et me soutint, nous fîmes quelque pas à l’intérieur. Par une porte située tout au fond de la pièce, entra un petit homme grisonnant au visage de fouine, qui nous salua, et s’effaça pour nous laisser entrer dans l’arrière-boutique, plongée dans l’obscurité. Il n’avait pas semblé surpris par notre arrivée, j’en conclus qu’il nous attendait. Quand il appuya sur l’interrupteur, je ne pus réprimer un mouvement de recul : contre un mur il y avait une table d’auscultation comme chez le médecin, à côté se trouvait un tabouret à roulette de hauteur réglable, ainsi qu’une desserte recouverte d’instruments étranges. Des dizaines de photos représentant des tatouages et des piercings plus ou moins extravagants tapissaient les murs. Il s’y trouvait également une affiche assurant que les règles d’hygiène les plus strictes étaient respectées, et que les ...
... aiguilles employées étaient à usage unique. Enfin, au milieu de la pièce, un siège pareil à celui d’un gynécologue trônait sous un projecteur halogène.
La fouine s’adressa à mon amant :
— Installez-la, j’arrive dans dix minutes.
J’étais stupéfaite, incapable de proférer le moindre son. Calmement, mon amant m’enjoignit de retirer ma jupe. Je m’exécutai, et fus soulagée par le sourire qu’il afficha quand il constata que je n’avais pas de culotte. J’étais donc nue jusqu’à la taille. Il me désigna le siège au milieu de la pièce, mais je ne bougeai pas. Alors, il me dit d’aller m’installer, et l’autorité de son ton était telle que j’obtempérai. Je posai mes fesses au bord du siège, et restai les jambes ballantes. Il les saisit l’une après l’autre, les posa sur les gouttières munies d’une sangle en cuir, qu’il ajusta autour de mes genoux et ferma sans serrer. Ensuite il fit pivoter chaque genouillère vers l’extérieur et je me retrouvai avec les cuisses très largement écartées. Il inséra immédiatement deux doigts dans mon vagin, deux doigts qui glissèrent très facilement parce qu’à vrai dire j’étais trempée. L’humiliation causée par ma posture, alliée au plaisir procuré par cette caresse que j’aime entre toutes, au point que je l’avais parfois supplié pour qu’il la prolonge, me plongeaient dans un état d’excitation intense, encore accentué par son regard : il me fixait droit dans les yeux, je ne me dérobais pas.
Je ne pus retenir mes gémissements bien longtemps, et bientôt j’eus ...