Marlène (chapitre 8) - Histoires de Sexe

Marlène (chapitre 8)

... s’approchèrent et l’un d’eux posa sa main sur l’un des ses seins, puis passa son index sur les marques de cravache et sur ses mamelons meurtris. Il s’adressa à Monsieur. « Elle n’est pas toujours sage, on dirait. »

Monsieur répondit immédiatement. « Elle est très obéissante mais elle a parfois tendance à prendre des initiatives malvenues, comme de se caresser sans ordre, ou de s’attacher elle-même sur la table du donjon. J’ai du intervenir pour la remettre dans le droit chemin. »

L’autre homme était passé derrière elle. Il lui caressa les cuisses, puis les fesses. Ensuite, il posa la main sur sa tête et la poussa doucement en avant, l’obligeant ainsi à se pencher jusqu’à l’angle droit. Il posa alors la main sur son sexe, la caressant délicatement. Malgré sa fatigue, Marlène sentait son ventre fondre. 

Soudain, il lui enfonça brutalement son pouce entre les reins, puis les quatre autres doigts dans le vagin, malgré la présence de l’électrode. Sous la surprise, elle cria et tenta de se débattre. La sanction ne se fit pas attendre. Elle sentit son ventre se tordre sous l’effet d’une décharge, très forte et très longue. Elle tomba au sol et continua à se tordre de douleur.

« Arrêtez! Pitié! Je ne bougerai plus, je le jure! Pitié! Je n’en peux plus! Ça fait trop mal! Arrêtez, je vous en supplie. »

La décharge cessa mais l’homme continuait à lui martyriser le vagin et l’anus avec sa main, pendant que l’autre la remettait debout en la soulevant par les mamelons. Elle ...

... criait de toutes ses forces, complètement paniquée.

« Eh bien dis donc, elle n’est pas bien dressée du tout, ta nana. Elle est carrément rebelle. Il va falloir la mettre au pas. Et elle est beaucoup trop serrée des reins. On ne t’a jamais suggéré de l’élargir? Il faudra prendre des dispositions pour ça. »

Étonnamment, Monsieur se leva et prit sa défense. « Je ne suis pas d’accord avec vous. Elle n’est entrée en soumission qu’il y a deux jours et demi. Elle a déjà fait des progrès énormes. Il y a 48 heures, la seule chose qu’elle avait prise dans l’anus, c’était un suppositoire, même jamais un doigt. Elle ne s’était jamais caressée devant quelqu’un, même devant son mari. De toute sa vie, elle n’avait fait qu’une demi-douzaine de fellations, à son mari et dans le noir ou sous les draps. De plus, elle est complètement épuisée. Elle a eu une journée très éprouvante hier et elle a passé sa première nuit en écartèlement sous électrode. Elle n’a pas dormi depuis plus de 36 heures. Je vous demande un peu de clémence. Je vous ai fait venir pour lui apprendre les techniques et les subtilités de l’amour buccal, pas pour la massacrer. Tenez-vous en à ça ou allez-vous en! »

Il s’approcha d’elle, retira la main de l’homme de son sexe, puis retira doucement l’électrode. Elle laissa échapper un gémissement, à peine audible. Il lui caressa la joue et lui dit « Marlène, te sens-tu capable de suivre ton cours? En as-tu envie? Je peux le faire reporter si tu veux. »

« Non, Monsieur. ...