1. Marlène (chapitre 8)


    Datte: 17/09/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme Vos histoires Auteur: M. Berthy, Source: Histoires-de-Sexe.club

    ... fierté. 
    
    Elle était prête à tout faire, à tout subir, à lui obéir aveuglément, à transformer son corps selon ses désirs, à torturer et à humilier d’autres femmes, si il lui demandait, à s’exhiber nue, où, quand, et devant qui il lui ordonnerai, à s’offrir sans aucune restriction à qui et devant qui il lui dirai. Elle était prête à apprendre, à étudier, à s’entraîner encore et encore pour toujours s’améliorer, à subir les pires punitions en cas de faute ou de désobéissance, pour progresser encore.
    
    Ils arrivèrent chez lui et il parqua la voiture en face de la maison. Elle était toujours nue. Sans dire un mot, il sortit et alla ouvrir la porte d’entrée, puis revint, côté passager. « Tu vas sortir, les mains sur la tête, entrer dans le hall et m’attendre en position numéro 3 » 
    
    La rue semblait déserte, mais beaucoup de fenêtres étaient éclairées. Certains des voisins les observaient-ils. De toute manière, elle n’avait pas d’autre choix que d’obéir immédiatement. Elle avait déjà une punition programmée, inutile d’en rajouter une deuxième. Elle sortit de la voiture et posa ses mains sur sa tête. 
    
    « Marche jusqu’à la porte d’entrée, doucement, les épaules en arrière. »
    
    Elle avait envie de courir mais elle parcouru les cinquante mètres qui la séparaient de la porte en marchant très lentement. Elle avait un peu froid. Cela lui parut très long. Elle pénétra dans le hall, se mit en position et attendit.
    
    Il arriva juste après, entra et referma la porte à clé. Il ...
    ... saisit une laisse qui pendait à un crochet sur le mur et l’attacha au collier de Marlène.
    
    « A quatre pattes, tout de suite! » Elle obéit instantanément. « Allez! En avant! Au donjon, et en vitesse! »
    
    Elle monta l’escalier le plus vite qu’elle pu. Il la suivait, tenant la laisse. « Allez! Plus vite! » Elle accéléra mais trébucha et faillit tomber. Elle se rattrapa et se remit à avancer le plus vite qu’elle pouvait. Elle s’arrêta devant la porte de la salle des punitions. La porte dissimulée s’ouvrit, ainsi que l’éclairage, automatiquement.
    
    « Entre, et installe-toi sur la table, je vais revenir. »
    
    Il disparut dans le couloir. Elle s’installa en croix, sur la table. Pour lui être agréable et pour lui faire gagner du temps, elle commença à attacher ses pieds, serra les sangles autour de ses genoux et de sa taille, puis attendit. Quand il revint, il portait un vase contenant une douzaine de tiges d’orties, d’environ 70 ou 80 centimètres de long. Il portait des gants de cuir. Il regarda les sangles serrées sur le corps offert de Marlène et soupira « Je ne t’ai jamais demandé de t’attacher seule. Évite de prendre des initiatives. Contente-toi d’obéir. Punition supplémentaire! »
    
    Il lui attacha les mains, en Y, très haut au dessus de la tête. Son regard était redevenu dur, glacial, comme lors de sa première punition. Il prit ensuite une tige d’ortie dans chaque main et commença à les promener sur les cuisses de Marlène. Elle sentait la morsure des orties, à chaque endroit ...
«1234...15»