Marlène (chapitre 8)
Datte: 17/09/2021,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Vos histoires
Auteur: M. Berthy, Source: Histoires-de-Sexe.club
... saisie de spasmes à chaque décharge. Il s’arrêta au bout d’une minute.
« Alors, ça va mieux, ou je continue encore quelques minutes? »
« Non, Monsieur, ça va! Arrêtez, s’il vous plaît! Je vais m’apprêter! »
Elle avait retrouvé un peu de lucidité, grâce à cette poussée d’adrénaline. Elle se coiffa et se maquilla du mieux qu’elle put. Il lui avait laissé l’électrode. Elle était là, en elle, comme une menace permanente. L’instinct de survie la maintenait éveillée. Elle restait suffisamment consciente pour suivre les instructions que l’on lui donnait, mais allait-elle pouvoir suivre le cours? Elle l’espérait. Cette perspective l’excitait beaucoup. Elle se doutait que les deux hommes, pour exercer ce genre d’activités, devaient être des étalons de premier choix.
Il lui restait 20 minutes. Elle ne savait qu’elle attitude adopter. Elle regarda vers Monsieur, espérant un ordre. Il la regarda, souriant.
« Va au salon. Position numéro 3, face au grand divan. Je te suis avec l’électrode. »
Elle se mit en place à l’endroit indiqué et attendit, immobile et silencieuse. Il s’était assis en face d’elle, la télécommande de l’électrode en main. Il guettait le moindre signe d’assoupissement, prêt à intervenir.
Marlène se concentrait pour garder les yeux ouverts. Elle se focalisa sur le cours qu’elle allait avoir dans quelques minutes, essayant de s’imaginer les visages de ses futurs professeurs. Pas que les visages, d’ailleurs. Son ventre se tordait et ses mamelons ...
... étaient durs et dressés. Il ne tarda pas à le remarquer.
Caresse-toi, lui lança t-il soudain, et va jusqu’au bout, j’ai horreur des simulatrices.
Elle n’hésita pas une seconde. Elle enduit de salive son index droit et le glissa entre ses petites lèvres, directement sur son clitoris. Elle le caressa vigoureusement, cherchant le plaisir immédiat. Pas le temps de faire des finesses ou des préliminaires. Il fallait se donner du plaisir, pour ne pas se laisser gagner par la fatigue. Sa main gauche se promena un moment sur ses seins, mais ils étaient meurtris par les coups de cravache et les toucher lui procurait plus de souffrance que de plaisir. Passant entre ses fesses, elle s’introduit par derrière, deux puis trois doigts dans l’anus. Au bout de trois minutes, elle poussa un cri de plaisir, puis un deuxième, juste après.
Le carillon de la porte d’entrée la ramena à la réalité. Ils étaient là. Monsieur alla les accueillir, pendant qu’elle remettait un peu d’ordre dans sa coiffure. Monsieur les fit entrer, devant lui. En les apercevant, elle ne fut pas déçue. C’était deux véritables athlètes, l’un de type méditerranéen, l’autre africain, très foncé. Ils posèrent leur regard sur elle, toujours à genoux. Elle se sentait transpercée, fouillée.
Monsieur rompit le silence. « Marlène, en position numéro 1, jambes écartées au maximum ». Elle se plaça debout devant eux, les mains sur la tête. Comme elle l’avait appris, épaules en arrière et poitrine relevée, reins cambrés. Ils ...