Marlène (chapitre 8) - Histoires de Sexe

Marlène (chapitre 8)

Il la prit par la main et l’emmena, après avoir salué la femme et le maître d’hôtel. Dès que la voiture fut sur l’autoroute, il se pencha sur elle et lui murmura « j’ai envie de te caresser les seins. Enlève ton chemisier et pose-le sur le siège arrière »

Elle n’hésita pas une seconde. Une fois cela fait, elle replaça ses mains à plat sur le siège, de part et d’autre de ses hanches. « Retire tes chaussures et ta jupe, maintenant. J’ai envie de te voir complètement nue. » 

Elle s’exécuta rapidement. C’était facile, cette jupe n’avait qu’une seule agrafe. Elle la fit glisser à ses pieds, puis la ramassa en enlevant ses talons. Elle déposa ensuite le tout à côté du chemisier, avant de se remettre en position.

Il commença à promener sa main droite sur son sein gauche, lentement, effleurant à peine la peau et dans jamais approcher de l’aréole. Elle gonflait sa poitrine, comme pour mieux l’offrir aux caresses et son ventre s’ouvrait, laissant apparaître son clitoris, dressé. Malgré les cinq ou six orgasmes qu’elle avait eu dans les dernières heures, son excitation montait en flèche.

Quand il commença à titiller son mamelon, une vague de plaisir la saisit. Elle se mit à se tortiller sur son siège, et sa main glissa vers son sexe. Il la rappela à l’ordre, immédiatement. « Arrête de gigoter et laisse tes mains à leur place! Je ne t’ai jamais demandé de te caresser! Essaie de te contrôler. Si tu perds le contrôle dès que tu as du plaisir, ça te jouera des tours. Tu dois ...

... pouvoir continuer à te concentrer pour suivre les instructions qui te sont données, par moi ou un autre dominant. Tu dois par exemple pouvoir pratiquer une fellation, bien contrôlée, pendant qu’un autre homme te pénètre, te sodomise, ou te caresse le clitoris. Tout cela demande de l’entraînement mais nous allons nous y atteler. »

« En attendant, je t’avais déjà dit que moi et moi seul pouvait décider si tu avais mérité du plaisir, de t’en donner ou de t’autoriser à te caresser. Tu seras punie dès que nous rentrerons à la maison »

Elle l’écoutait, comme hypnotisée par sa voix, tentant de rester immobile malgré ces vagues qui montaient de son ventre jusqu’à ses seins. Ses mamelons meurtris n’émettaient plus qu’une douce sensation de chaleur. 

« Tu es la meilleure soumise que j’ai eu de toute ma vie. Tu as fait plus de progrès en une semaine que bien d’autres en six mois ou en un an. Tu es faite pour cette vie. De plus, tu as des dispositions étonnantes pour la domination. Je vais te former et faire de toi une experte en la matière. Mais avant ça, tu dois continuer ta formation de soumise, et tu as encore beaucoup de travail. »

Elle aimait le son de sa voix, mais ce qui la rendait infiniment heureuse, c’était les phrases qu’elle entendait. Elles étaient la récompense de tous les efforts et de tous les sacrifices qu’elle avait faits, de toutes les souffrances et de toutes les humiliations qu’elle avait subies. Tout cela était effacé, ne laissant place qu’à une immense ...