Marlène (chapitre 8) - Histoires de Sexe

Marlène (chapitre 8)

... Monsieur sait comment s’y prendre.

Elle l’écoutait mais sans vraiment réaliser ce qu’il lui disait. Elle était gagnée par un orgasme irrépressible. Elle hurla de plaisir. Il retira sa main. Aussitôt, elle sentit un sexe se glisser en elle. C’était Roberto qui avait choisi, avec l’accord de monsieur, de se soulager en elle. Cela dura plus de 20 minutes. Elle jouit trois fois avant qu’il n’éjacule, lui provoquant un quatrième orgasme. Quand il se retira, elle était épuisée. 

Mais elle n’en avait pas terminé. Mamadou la saisit et la mit à quatre pattes, face à Monsieur. Elle lui jeta un regard suppliant. Il lui sourit mais ne bougea pas.

Il s’introduit dans son sexe, doucement, distendant les chairs tendres. Elle cria d’abord de douleur, puis au fur et à mesure ces cris se transformèrent en gémissements de plaisir. Elle était une fois de plus confrontée à ce mélange de souffrance et de plaisir, où la souffrance augmentait l’intensité des sensations. Jamais elle n’avait ressenti ça. Elle n’avait jamais imaginé  même dans ses fantasmes les plus  fous, un sexe de cette taille s’agitant en elle. Elle ressentait aussi un certain sentiment de fierté. Si Monsieur lui laissait prendre tant de plaisir, c’est qu’il était satisfait d’elle, de son obéissance. 

Sous les coups de boutoir qui lui défonçaient le ventre à un rythme toujours plus rapide, elle jouit encore plusieurs fois, parfois à moins d’une minute d’intervalle. Quand il jouit à son tour, déversant un nouveau ...

... flot de sperme, dans son sexe cette fois, elle poussa un grand cri, puis tomba sur le sol, à plat ventre. Il se retira d’elle et la remit en position, brutalement, en la tirant par les cheveux. « Personne ne t’a autorisé à te coucher! En position! Genoux écartés! Mains sur la tête! En vitesse! »

Docile, elle reprit sa position et resta immobile. Au bout de deux minutes, des coulées de semence mélangées à ses propres sécrétions commencèrent à couler de son vagin, sur le sol, entre ses pieds. Elle avait honte mais ne pouvait rien faire pour empêcher cela. Mamadou avait repris place dans le divan à côté des deux autres et tous les trois la contemplaient silencieusement. Elle sentait de nouveau la fatigue l’envahir mais Monsieur la rappela à l’ordre. « Position! Épaules en arrière, poitrine relevée, reins cambrés! » Elle ajusta rapidement sa position. Il la laissa encore plus de dix minutes dans cette position, sans dire un mot. Quand soudain « qu’est-ce que c’est que cette tache sur mon carrelage? Petite truie! Tu vas me nettoyer ça avec ta langue, et en vitesse! Et tu as intérêt à ce qu’il ne reste aucune trace! »

Il agitait une cravache devant son visage. Elle se mit à quatre pattes et commença à aspirer le liquide gluant avec sa bouche. Elle fut prise d’une terrible nausée et vomit tout le contenu de son estomac sur le pavé. Aussitôt, elle reçut plusieurs coups de cravache sur les fesses.

« Mais qu’est-ce que c’est que ça? Tu es dégueulasse! Ramasse-moi ça en ...