Marlène (chapitre 8) - Histoires de Sexe

Marlène (chapitre 8)

... pas le choix. De toute manière, ce n’était pas son problème majeur pour l’instant. Sous la caresse, l’énorme sexe avait encore pris de l’ampleur. Elle se demandait comment elle allait pouvoir l’introduire dans sa bouche sans se désarticuler la mâchoire ni se déchirer les lèvres. Et s’il lui prenait l’envie de s’enfoncer dans sa gorge comme son prédécesseur, elle n’y survivrait probablement pas. Il allait lui pulvériser le larynx et lui déchirer l’œsophage.

Elle était terrorisée mais elle continua à lui donner du plaisir. Elle constatait avec un peu de fierté qu’elle y parvenait. Il était agité de petits mouvements saccadés et poussait parfois de petits gémissements. Cela dura plusieurs minutes. Pour sa part, son ventre était toujours en feu et se tordait de désir. Peut-être, tout à l’heure, si Monsieur était content d’elle, lui permettrait-il de se donner du plaisir, ou peut-être même lui en donnerait-il lui-même ou la livrerait-il aux deux hommes.

Un ordre sec la tira de ses pensées « Allez, prends-moi dans ta bouche, le plus loin que tu peux! »

Elle écarta les lèvres et ouvrit sa mâchoire au maximum. L’énorme verge pénétra dans sa bouche, jusqu’au fond. Elle avait l’impression que la commissure de ses lèvres allait se déchirer. Elle ne pouvait rien faire pour lui donner du plaisir, sa langue étant écrasée et immobilisée au fond de sa bouche. Faute de mieux, elle se décida à faire de petits mouvements d’avant en arrière. À chaque fois, l’énorme gland frappait le ...

... fond de sa gorge, provoquant des haut-le-coeur. Elle se concentrait sur sa tâche, y mettant toutes ses forces.

Au bout d’une dizaine de minutes, un spasme plus violent que les autres déversa une rivière de semence au fond de sa gorge. Elle déglutit le plus vite qu’elle put, pour pouvoir continuer à respirer, pour survivre. Une quantité énorme de liquide coulait par jets saccadés. Cela semblait ne jamais devoir s’arrêter. Elle se mit à tousser, à étouffer. Il se retira brusquement, la laissant pantelante et à bout de souffle. Elle se lécha les lèvres, pour récupérer les gouttes qui avaient glissé hors de sa bouche quand il s’était retiré. Elle restait là, immobile, n’osant pas changer de position sans ordre.

Mamadou s’approcha d’elle par derrière et lui introduit un doigt, puis deux, dans le vagin. Elle n’attendait que ça. Elle gémit de plaisir. Il lui introduit alors deux doigts dans l’anus, mais sans brutalité. Il voulait lui donner du plaisir, pas la faire souffrir, un peu comme s’il voulait la récompenser.

« Tu comprends maintenant pourquoi il faut t’assouplir l’anus. Tu as vu le calibre. Un soir, il y aura une soirée spéciale où tu seras sodomisée pour la première fois. En public, et en grandes pompes. Ce sera moi qui m’en chargerais. Ça peut te paraître impossible mais l’anus d’une soumise doit pouvoir accueillir bien plus que ça. Avec Marie-Agnès, j’y glisse ma main et tout mon avant bras, presque jusqu’au coude. Il va falloir travailler ce point tous les jours. ...