Marlène (chapitre 7)
Datte: 15/09/2021,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Vos histoires
Auteur: M. Berthy, Source: Histoires-de-Sexe.club
... voix et dans ses gestes. Elle la ressentit immédiatement comme une ennemie.
Eh bien, ma douce, lui dit-elle, tu vas nous en montrer un peu plus j’espère. Tu m’as l’air d’avoir une jolie poitrine. Enlève un peu ton chemisier pour voir.
Marlène hésita une seconde, se retournant vers Monsieur pour avoir son aval. Il ne bougea pas.
Le directeur prit alors la parole. « Tu sais, Marlène, en principe le collier que tu portes nous donne des droits sur toi, comme à tous ceux qui en connaissent le sens. Je pourrais te forcer à te déshabiller, même si celui qui deviendra bientôt ton maître ne le souhaite pas. Cependant, je vais lui demander son accord, par principe et dans le but de conserver nos excellentes relations. »
Il se tourna alors vers lui « Paul, es-tu d’accord pour une petite séance de poses? »
Monsieur se tourna alors vers elle et la regardant dans les yeux lui demanda « qu’en penses-tu, Marlène? »
Elle baissa les yeux et lui dit doucement « Je ferai ce que vous voulez, Monsieur. »
Bien. Eh bien pour commencer, montre un peu tes seins à Madame, qui voudrait les voir. Retire ton chemisier.
Marlène obéit et le posa sur le canapé, à côté d’elle.
Approche, ordonna la femme, à genoux, mains sur la tête.
Quand Marlène fut à environ 50 centimètres d’elle, la femme saisit ses mamelons entre le pouce et l’index de chaque main. Elle les pinça et les tordit si violemment qu’elle hurla de toutes ses forces. Sous la douleur et la surprise, elle laissa ...
... tomber ses mains, tentant instinctivement de protéger sa poitrine. La réaction ne se fit pas attendre. En un instant elle se retrouva avec les mains attachées derrière le dos, bras et poignets retournés, les mains presque au niveau de son collier. Il n’avait fallu que quelques secondes aux deux hommes pour lui passer des menottes et attacher celles-ci à son collier avec un mousqueton.
« Alors, ma douce, on se rebiffe? Je vais t’apprendre, moi »
Elle lui tortura les pointes des seins pendant plusieurs minutes, les pinçant, les tirant dans tous les sens, les tordant, y plantant ses ongles pour accentuer encore la douleur. Marlène criait, pleurait, suppliait « pardon, Madame, pardon Madame, je ne bougerai plus, Madame, je vous le jure, Madame, pitié, Madame, pitié ! »
Elle ne comprenait pas. Qu’avait-elle fait pour mériter ça? Elle avait été obéissante et respectueuse des règles toute la soirée. Elle finit par comprendre, en regardant à la dérobée le regard de la femme, qu’il ne s’agissait pas d’une punition. Elle prenait un véritable plaisir à la faire souffrir, à l’entendre supplier.
Quand elle s’arrêta enfin, Marlène pleurait à chaudes larmes et était à bout de souffle.
« Elle est un peu douillette, ta nana, tu auras intérêt à l’endurcir un peu. »
« Remettez-la debout et enlevez lui sa jupe. Roland, apporte-moi une cravache »
Monsieur se leva et intervint, sèchement « Non! Stop! Elle en a bavé suffisamment pour aujourd’hui! Enlevez-lui ces menottes! Marlène, ...