1. Marlène (chapitre 7)


    Datte: 15/09/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme Vos histoires Auteur: M. Berthy, Source: Histoires-de-Sexe.club

    On va fêter ton nouveau look, lui dit-il en souriant. Je t’invite au restaurant. J’ai réservé une table dans l’un des mes établissements préférés. Ce n’est pas vraiment tout près mais tu verras, ça vaut le déplacement.
    
    Marlène frémissait à l’idée de s’assoir à une table en public dans cette tenue. Mais à peine sur l’autoroute, elle sentit de nouveau les doigts de sa main droite se glisser dans son sexe. Il la caressa délicatement pendant plusieurs minutes et, quelques kilomètres avant d’arriver commença à lui titiller le clitoris, lui arrachant des gémissements de plus en plus aigus. Elle hurla de plaisir à l’instant précis où ils entraient dans le parking du restaurant. 
    
    Ses craintes s’étaient évaporées. Elle reprit son souffle, rajusta sa tenue et attendit. Il sortit de la voiture, la contourna pour venir lui ouvrir la portière, puis lui tendit la main. Elle le suivit dans l’entrée où un chasseur les attendait. Il n’eut pas à prononcer un seul mot. À l’évidence, on le connaissait et on les conduisit directement à leur table.
    
    C’était une petite table située dans le fond de la grande salle, avec des chaises en cuir à haut dossier. L’éclairage était tamisé et très intime. Il recula la chaise tournée face à la salle et l’invita à s’assoir. Elle s’exécuta, remontant l’arrière de sa jupe. Elle poussa un petit cri. Le cuir de la chaise était glissant et froid. C’était saisissant de le sentir lui coller aux fesses.
    
    Un serveur s’approcha d’eux, souriant. « Bonjour ...
    ... Monsieur , Madame » dit-il, « désirez-vous un apéritif? » 
    « Avec plaisir » répondit Monsieur « nous prendrons deux coupes de champagne »
    
    Ils burent leur apéritif calmement. Elle se sentait infiniment bien et s’était complètement détendue. Il lui parlait doucement en lui tenant la main. Il lui expliqua qu’il était vraiment content d’elle, de son comportement, de ses efforts. Que bien sûr il restait beaucoup de chemin à parcourir, mais qu’il était certain qu’elle pouvait y arriver. Il avait confiance en elle et en son dévouement. Qu’elle avait si bien démontré son obéissance qu’il allait pouvoir assouplir certaines règles. À partir de maintenant, elle pourrai de nouveau le regarder dans les yeux. Il précisa cependant que ce changement ne concernait que lui. La règle du regard restait d’application pour tous les autres dominants.
    
    Elle était heureuse, simplement. Pour pouvoir vivre des moments comme celui-ci, même de temps en temps, elle était prête à tout accepter et à tout subir. À renoncer à toute forme de fierté ou de pudeur,  à subir les pires châtiments corporels, comme les électrochocs qui la terrifiaient , à être exhibée et humiliée devant qui il le désirerai, à être photographiée ou filmée même dans ses moments les plus intimes.
    
    Il la regarda dans les yeux et toujours doucement lui dit « Je ne trouve pas les pointes de tes seins très jolis, comme ça. Je préfère quand ils sont dressés. Caresse-les et pince-les un peu pour les faire durcir.
    
    Elle jeta un coup de ...
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