Marlène (chapitre 7) - Histoires de Sexe

Marlène (chapitre 7)

... remets ton chemisier, nous partons. »

Le directeur se leva et s’adressa à Monsieur. « Attendez, mon ami! Ne partez pas! Nous en resterons là, bien sûr. » Puis s’adressant à son épouse « tu voulais une séance de cravache? Tu vas être servie! Fous-toi à poil! Je vais t’apprendre à malmener mes clientes et mes amis, moi! »

Instantanément, la femme sadique qui l’avait torturée quelques secondes plus tôt, et dont le regard méprisant et les mots avaient humilié Marlène, se transforma en petit animal apeuré et obéissant. Elle fit passer en une seconde sa robe au dessus de sa tête. Elle était nue en dessous, nue et épilée. Spontanément, elle se mit à genoux devant son mari, mains croisées derrière le dos, tête baissée.

S’adressant à Marlène et à Monsieur « je suis désolé. Ma femme a des pulsions sadiques, de plus en plus intenses, et de plus en plus fréquentes. C’était pourtant une soumise exemplaire. Je m’efforce de la remettre dans le droit chemin. Elle va recevoir la séance de cravache qu’elle destinait à Marlène, ensuite elle aura droit à une séance d’électrochocs mémorable. »

Marlène la regarda. Elle tremblait des pieds à la tête, agitant frénétiquement la tête de gauche à droite en murmurant « Non, non, pitié! »

D’abord, reprit-il, tu vas t’excuser auprès de Marlène.

Elle s’avança, toujours à genoux, et vint se placer devant Marlène, à un mètre environ, toujours tête baissée. Elle murmura  « Je vous demande pardon, Madame », puis poussa un cri. Elle venait ...

... de recevoir un coup de cravache sur le sein gauche. 

« Un peu plus fort! Je n’ai rien entendu! »

Nouveau « Je vous demande pardon, Madame », plus clair et plus ferme cette fois.

« Maintenant, tu vas lui lécher les pieds, partout, jusqu’à la cheville. Passe bien entre les orteils. Commence par le pied gauche. Je te dirai quand tu pourra arrêter »

Elle saisit délicatement la cheville gauche de Marlène, lui ôta sa chaussure et commença à parcourir son pied avec sa langue, passant partout , de la plante aux talons, insistant entre les orteils, balayant le dessus du pied de grands coups de langue, tournant autour de la cheville. Cela dura cinq à six minutes. 

Un ordre claqua « Même chose, pied droit! »

Elle recommença. Marlène jubilait de voir cette femme qui tout à l’heure la regardait avec tout le mépris du monde, humiliée ainsi devant elle. Et ce n’était pas fini. Marlène espérait bien assister à la séance de cravache et aux électrochocs.

« Ça suffit! Maintenant va chercher un bassin d’eau tiède, un gant, un essuie et du savon. Tu ne vas quand même pas laisser avec les pieds pleins de bave! »

Elle s’éclipsait quelques secondes et revint avec le nécessaire. Elle lava, rinça et sécha soigneusement les pieds de Marlène, avec toute la douceur dont elle était capable. Puis reposa le bassin et les ustensiles de toilettes sur une petite table à trois mètres de là. Elle vint ensuite reprendre sa position devant Marlène, les mains derrière le dos.

« Avance! » ...