Marlène (chapitre 6) - Histoires de Sexe

Marlène (chapitre 6)

... plaît. »

Il s’agissait d’un écrin comme pour les colliers de perles. 25 centimètres sur 25, environ et 4 centimètres d’épaisseur. Il l’ouvrit devant elle et elle découvrit son futur ornement. 

C’était un collier constitué de plusieurs petits tronçons de cuir noir, très souples, reliées entre eux par des ensembles de trois anneaux métalliques. À chaque fois, deux petits anneaux circulaires encadraient un plus grand, de forme triangulaire. Il y en avait deux à l’avant, séparés par 10 centimètres environ et un au centre, à l’arrière. Une petite plaque brillante occupait le centre, à l’avant. Elle était rectangulaire, plus ou moins 4 centimètres de large et 1 de haut et portait une inscription gravée sur deux lignes  « SOUMISE MARLÈNE » et en dessous, en caractères un peu plus petits, « Appartient à Maître Paul »

Il le plaça autour de son cou. Il avait exactement la bonne taille. Bien ajusté mais sans serrer pour ne pas irriter la peau. Il introduit un rivet entre deux maillons à l’aide d’un pince puis déposa un grand tissu très épais sur le dos et le cou de Marlène, le faisant passer sous le collier. Il introduit alors une petite plaque métallique entre le maillon qu’il venais de river et le tissu. « Ne bouge pas d’un centimètre! » lui intima t-il «Je vais souder le rivet et je pourrais te brûler si tu n’est pas parfaitement immobile. »

Il lui avait bandé les yeux mais elle ne sentait rien, même pas la chaleur du fer à souder à travers l’épais tissu. Ça ne prit pas ...

... plus de trente secondes. Ensuite, à l’aide d’une petite fraise électrique et de meules de plus en plus fines, il rendit au maillon son poli et son brillant d’origine.

Il retira la plaque métallique et le tissu, puis souleva Marlène sous les bras pour la remettre debout. Il la guida alors pour la placer face à l’un des grands miroir. « Position 1 » jappa t-il avant de lui retirer son bandeau.

Elle se découvrit alors, dans sa nudité glabre, avec ce collier, symbole de sa soumission absolue, et sur lequel apparaissait clairement son statut. Elle avait encore pourtant bien du mal à accepter cette nouvelle image. Il la laissèrent comme ça de longues minutes, pour qu’elle puisse bien s’en imprégner.

Ce fut Monsieur qui mît fin à cette séance de pose. « Rhabille-toi » lui lança t-il « Nous rentrons à la maison »

Le plus jeune des deux hommes intervint à cet instant. « Vous êtes donc si pressés? Je n’ai pas droit à une petite pipe en guise de pourboire? » demanda t-il en souriant.

Monsieur répondit « Bien sûr! Marlène, tu veux bien sucer ce monsieur? Rappelle-toi ce que je t’ai expliqué concernant les fellations. Je sais que tu n’as aucune expérience en la matière et que tu n’as pas encore reçu les cours mais fais de ton mieux. Nous serons indulgents »

Elle était submergée de honte. Sucer un inconnu devant deux autres hommes, elle qui, de toute sa vie n’avait fait que quelques fellations, et uniquement à son mari, et dans l’intimité de sa chambre. Elle se sentait ...