Marlène (chapitre 6) - Histoires de Sexe

Marlène (chapitre 6)

... dégradée et humiliée. Mais elle savait ce que coûtaient les refus d’obéissance, et de plus, voulait faire plaisir à Monsieur.

Elle se mit en place, à genoux et les mains derrière le dos. Elle s’appliquait, maladroitement, essayant de reproduire ce qu’elle avait vu dans les films pornos et sur internet. Elle était prise de haut-le-cœur chaque fois que le gland frappait le fond de sa gorge. Elle utilisa sa langue et ses lèvres, veillant soigneusement à ne pas le toucher avec les dents. Elle s’activa tant et si bien qu’il jouit bruyamment au bout de quelques minutes, inondant sa bouche et sa gorge. Il lui tint la tête d’une main et lui pinça le nez de l’autre, pour la forcer à avaler. Elle l’aurait fait sans ça mais elle pensa qu’il avait eu plaisir à être brutal, comme pour affirmer sa domination.

Elle avala entièrement la semence, puis comme détaillé dans les règles, lui nettoya le sexe avec la langue. Elle se sentait sale et avait envie de vomir. Elle avait beaucoup de mal à garder les épaules en arrière. Elle respirait profondément pour juguler sa nausée. Ça fonctionnait. Au bout d’un minute, elle se sentait beaucoup mieux, mais la honte la reprit quand elle entendit les commentaires des trois hommes. Il détaillaient son corps et sa prestation dans des termes brutaux, abominables. Elle aurait voulu se retourner et les insulter, les frapper, même. Mais elle resta immobile, vaincue, matée.

Le fils lui jeta sa robe, après s’être essuyé le sexe avec. Elle la laissa ...

... tomber à ses pieds. Elle n’avait pas reçu l’ordre de se rhabiller. « Position 1 » ordonna t-il. Elle s’exécuta. Il se plaça devant elle, à cinquante centimètres, posa sa main sur son sexe puis la fouilla brutalement. « Rhabille-toi et casse-toi! Tu reviendras me voir dans un mois quand tu auras été à l’école. »

Elle enfila sa robe rapidement. Elle avait les larmes aux yeux. Jamais elle n’avait été  humiliée à ce point. Elle aurait voulu mourir.

Il lui banda les yeux et l’installa dans la voiture. Là, il lui ordonna de retrousser l’arrière de sa robe et de s’asseoir directement sur le siège. Il retroussa ensuite lui-même l’avant de sa jupe, découvrant son intimité. « Ouvre les jambes plus fort que ça » lui dit-il. « C’est la manière dont tu devras toujours t’installer quand nous serons en voiture. Ne m’oblige pas à te le répéter. »

C’était surtout gênant en ville, par exemple quand ils s’arrêtaient à un feu rouge et que des piétons attendaient pour traverser. Si l’un d’eux regardait par la fenêtre, il l’apercevrait, totalement ouverte et offerte. La ceinture, passant entre ses seins, les faisaient ressortir sous le tissu. Elle gardait pourtant en permanence les épaules en arrière et la poitrine relevée. Cela lui demandait une concentration de tous les instants.

Ils firent un crochet par chez elle, pour récupérer l’appareil photo et les chemisiers qu’elle avait préparés. De retour chez lui, il lui ordonna de se déshabiller et de préparer une collation rapide pour eux ...