Marlène (chapitre 6) - Histoires de Sexe

Marlène (chapitre 6)

... couloir, elle frappa à une porte et s’éclipsa. « Entrez! » dit un homme à l’intérieur. La voix était ferme et virile. Elle pénétra dans la pièce et il la suivit

La pièce était singulière. Drapée de noir du sol au plafond, elle ne comportait pour tout meuble qu’une petite armoire, sur laquelle étaient soigneusement rangés une série d’outils, électriques ou non. L’un des coins était ornés de deux grands miroirs, de deux mètres sur un environ. Un système d’éclairage sophistiqué, composé de plusieurs dizaines de spots, permettait d’obtenir tous les effets possibles.

Un homme les accueillit, la soixantaine, grisonnant mais avec une importante chevelure. Il  dégageait une telle impression de force tranquille que Marlène fut prise de panique. Il passa à côté d’elle sans même la regarder et serra longuement la main de Monsieur. Un autre homme, beaucoup plus jeune, se trouvait là, aussi.

« Je te présente mon fils, Charles. Il est aussi mon élève, mon assistant et c’est lui qui reprendra les rênes de la société quand le moment sera venu. »

Ce dernier s’avança, ignorant Marlène lui aussi. Nouvelle poignée de mains.
Il s’approcha enfin d’elle, la regardant de bas en haut. Il saisit la robe par la manche, entre son pouce et son index et jeta  « Allez, enlève-moi ça! »

« Oh non! » pensa Marlène. Je vais encore être déshabillée, et devant deux hommes, cette fois. Ça ne s’arrêterait donc jamais! C’était inutile d’être nue pour essayer un collier. Pourquoi faisait-il ça? ...

... Elle ne comprenait pas mais puisque c’était sa volonté... » 

Toutes ces réflexions  lui avait pas pris plus de cinq secondes mais une voix sèche la tira de ses pensées. « Alors qu’est-ce que tu attends? Quand je donne un ordre, j’exige une obéissance immédiate. Je vais t’apprendre à traîner, moi! À poil! Position 8!

Elle obéit instantanément, cette fois. Elle se plaça à genoux, visage et poitrine collés au sol, mains croisées derrière le dos, cuisses écartées. Elle sentit alors qu’on lui attachait les mains avec une fine corde, très serrée, puis qu’on lui introduisait quelque chose dans le vagin. Elle comprit immédiatement. La première décharge arriva, lui arrachant un cri et la faisant basculer sur le côté. « En position, en vitesse! Tu vas obéir tout de suite, maintenant? » 

Elle avait repris sa place. Une seconde décharge arriva, puis une troisième, beaucoup plus longue. Elle sanglotait « oui Monsieur, oui Monsieur, pardon Monsieur. » mais les décharges ces suivaient, augmentant progressivement en durée et en intensité. La punition dura plus de trois minutes. Quand il s’arrêta enfin. Elle était à la limite de l’évanouissement. Il lui détacha alors les mains.

« Position 3! » elle se plaça de face, toujours à genoux, mais sur la tête. Elle avait compris ce qu’on attendait d’elle. Reprenant son souffle, elle récita « Je suis désolée pour ma faute, Monsieur, et je vous remercie pour ma punition. »

« C’est bien! Ne bouge pas! Charles, apporte le coffret s’il te ...