Marlène (chapitre 4)
Datte: 12/09/2021,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Vos histoires
Auteur: M. Berthy, Source: Histoires-de-Sexe.club
... s’approche de moi et m’asperge d’eau glacée avec un tuyau d’arrosage. Ça dure longtemps. J’ai froid. Puis il me frictionne avec du gel-douche, partout, en insistant sur mon sexe, mes fesses et le haut de mes cuisses. Il me rince, ensuite, toujours à l’eau froide. Ça n’en finit pas.
Soudain, il s’arrête et s’approche de moi. « Madame a dit « extérieur et intérieur », c’est ça? »
Je sens qu’il introduit l’embout du tuyau dans mon vagin. Il ouvre l’eau à fond. Ça fait mal. Je rue dans mes liens. Il me flanque deux gifles de sa main libre. Je m’immobilise et il continue.
Au tour de l’entrée de mon sexe, maintenant. À 5 centimètres, pression maximale. Entre les petites lèvres et directement sur le clitoris. C’est terrible mais le plus dur est à venir.
Il m’introduit le tuyau dans l’anus et ouvre l’eau. Je sens mon ventre se remplir d’eau. Il continue. Je commence à avoir mal au ventre, comme quand on a la diarrhée. J’essaie de résister mais la femme s’approche et me tord un mamelon. Je déverse cinq à six litres d’eau brunâtre dans le seau. Ma tête retombe sur ma poitrine. Je suis épuisée mais je n’ai plus mal au ventre.
Je vois l’un des hommes prendre le seau et en verser le contenu dans un grand bidon transparent, à l’aide d’un grand entonnoir. J’ai peur de comprendre.
« Allez, on recommence! » lance la femme. Même procédé, toujours aussi violent. Cette fois, je n’essaie pas de me retenir. J’asperge mes jambes et le sol de la cour d’un jet glacé et ...
... nauséabond.
Un nouveau coup de tuyau d’arrosage pour me rincer, gel-douche sur le bas de mon corps, puis nouveau jet d’eau glacée sur tout le corps, à l’entrée de mon sexe et dans mon vagin. En plein visage, ensuite, pendant près d’une minute. J’essaie d’ouvrir la bouche pour avaler un peu d’eau mais en vain. J’étouffe. Je tousse et je crache sans pouvoir m’arrêter. Finalement, le jet cesse. Je reste inerte, vaincue, une fois de plus.
« Détachez-la, rentrez-la et séchez-la. Il ne faudrait pas qu’elle attrape la crève. »
Je me retrouve comme hier, à genoux dans un coin de la cuisine. Ils mangent tous. Ça sent bon. Mon estomac se tord. Je les implore des yeux. Jetez-moi quelque chose, je le ramasserai par terre avec ma bouche. Ils ne me regardent même pas. Je fonds en larmes.
La femme se tourne vers moi et hurle « silence! Je t’ai dit hier que tu n’aurai rien aujourd’hui! Peut-être demain, si tu es sage. »
Le déjeuner se termine. Ils m’emmènent et me rattachent au mur avec la chaîne. Ils m’ont détaché les mains. Je vois arriver la femme. Elle porte le bidon de tout à l’heure et un grand gobelet en plastique. Elle le pose à côté de moi et ricane. « Tiens, si tu as soif.... Les hommes préfèrent un urinoir normal. Tu as une trop petite bouche. »
Elle s’en va dans un grand rire, relayé par tous les autres. Je regarde le bidon, dégoûtée. Mais je sais maintenant que je finirai par boire cette mixture, quand mon cerveau , dépassant toutes mes craintes et tous mes dégoûts, m’y ...