Marlène (chapitre 3)
Datte: 10/09/2021,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Vos histoires
Auteur: M. Berthy, Source: Histoires-de-Sexe.club
... monstrueuse nausée me saisit. Elle a effectivement marché dans des excréments de chien, ou peut-être même d’humain. Je commence à lécher la semelle. Je crache par terre et je hurle. Je viens de recevoir un cours de cravache sur le côté de mon sein droit. Je l’entends crier « avale! Pas question de cracher par terre ou je te fais nettoyer le sol de toute la pièce de la même façon! »
Je n’ai pas le choix, je continue et j’avale les excréments. J’essaye de réprimer ma nausée car je n’ose pas imaginer ce qui m’arriverait si je vomissais sur ses chaussures ou même par terre. J’en termine enfin. Elle enlève sa chaussure pour vérifier le résultat. Elle semble satisfaite. Elle me présente son pied nu. « Continue! Et nettoie bien entre les orteils! »
Son pied dégage une odeur immonde. Elle transpire sûrement dans ces chaussures depuis le matin. Mais après avoir léché et avalé de la merde de chien, ce n’est pas si terrible. Je lui lèche le pied jusqu’à la cheville. Elle m’arrête et remet sa chaussure.
S’adressant aux hommes en riant, elle crie :« Eh bien les gars, on dirait que cette petite chienne est bien obéissante. On va bien s’amuser. Allez vous coucher. La suite demain matin. »
Je me recouche sur le pavé. Je tremble de froid et de peur. Ça va être la nuit la plus longue de ma vie. Impossible de fermer l’œil. Tout mon corps brûle, particulièrement mes mamelons, mes petites lèvres et la plante de mes pieds. Le souvenir des chocs électriques me hante. Je donnerais tout ...
... au monde pour de plus avoir à subir ça. Les heures passent. Je finis par sombrer dans un mauvais sommeil, empli de cauchemars.
Je me réveille en sursaut. On me saisit sous les aisselles. On m’enlève le collier et on détache la chaîne qui entrave mes pieds. On me détache les mains mais on me laisse les bracelets aux poignets et aux chevilles. Instinctivement, j’essaye de me débattre. Je prends une gifle, puis une deuxième. Ils sont trois. Ils me soulèvent et me jettent sur la table, à plat ventre. Ils m’attachent les pieds et les mains, puis serrent une large sangle qui immobilise ma taille.
Le plus petit des trois se place devant moi et descend son pantalon, avant de placer son sexe en érection devant ma bouche. « Allez, suce! Et fais ça comme il faut si tu ne veux pas passer à la gégène »
La gégène, je sais ce que c’est, je l’ai vu dans un documentaire sur la gestapo. Ce sont les électrochocs. Pas ça! J’obéis, avec toute mon énergie. Il me tient la tête et donne de grands coups avec son gland dans le fond de ma gorge. J’étouffe et j’ai envie de vomir. Malgré ma peur, je m’applique à lui donner du plaisir, avec mes lèvres, ma langue, mon palais.
Soudain, une douleur entre les jambes. Un de ses comparses me viole, avec brutalité.
Ça dure longtemps. Je sens qu’il ralentit ou s’arrête chaque fois un peu avant de jouir.
Il se retire, puis je sens qu’il crache entre mes fesses. Il enduit un doigt de salive et me m’enfonce dans l’anus. Un doigt, puis deux, puis trois. ...