Marlène (chapitre 3)
Datte: 10/09/2021,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Vos histoires
Auteur: M. Berthy, Source: Histoires-de-Sexe.club
... ventre et m’arrache les organes.
Il se penche sur moi et me sourit. « Maintenant, tu as une bonne raison pour gueuler, tu peux y aller » dit-il avant d’éclater de rire et de s’en aller.
Personne ne peut supporter ça pendant deux heures. Au bout de vingt minutes, je n’ai même plus la force d’émettre un gémissement. Je relève de temps en temps la tête pour regarder mes seins et mon ventre se tordre sous l’effet du courant. Je suis à bout.
Ma vue se trouble. Je perds connaissance.
Un seau d’eau froide me ranime. J’ouvre les yeux. On m’a enlevé les électrodes. Je pense avoir un peu de répit, mais non. Je suis toujours attachée dans la même position. Ils sont trois autour de la table. Que vont-ils me faire? Je pleure. Je ne sais même pas ce qu’ils me veulent, ni qui ils sont.
Ils enlèvent les sangles aux genoux, aux cuisses et aux coudes, ainsi que celle sous la poitrine et à la taille. Détachent aussi celle du cou. Je ne suis plus attachée que par les poignets et les chevilles, toujours écartelée, offerte.
Je vois le plus grand d’entre eux passer la main sur les fouets, comme pour en choisir un. C’est la dernière chose que je vois. On me bande les yeux.
Puis les coups arrivent, réguliers. Je ne peux bien sûr pas prévoir la place de l’impact. Ils commencent par le ventre et les cuisses, méthodiquement, intérieur et extérieur. Puis les seins, longuement, au fouet, puis les aréoles, à la cravache . Ils terminent par mon sexe, d’abord au martinet, pour ...
... couvrir tout la surface, puis à la cravache, pour plus de précision. Tout mon corps brûle. Puis ça s’arrête.
« Retournez-la », jappe une voie féminine.
Ils me détachent et me rattachent sur le ventre. Suite du traitement: le dos, l’arrière des cuisses et des mollets, le dos et les fesses. Pour terminer par le plus douloureux, la plante des pieds à la cravache. On m’enlève le bandeau et on me détache. Tout mon corps est zébré de marques rouges.
On me met debout. Je ne peux pas marcher, mes pieds me font trop mal. On me traîne dans un coin, on me remet le collier, on me rattache les pieds, les mains et on me laisse là. Je ne sais pas combien de temps. Je n’ai plus aucune notion de durée. Une demi-heure, peut-être plus.
J’entends des pas. Je relève la tête. La femme est devant moi, tenant dans une main un long porte-cigarettes et dans l’autre une cravache très fine. Je l’implore du regard. Elle rigole. Elle prend une chaise et s’assied en face de moi. Tous les autres sont là et regardent en ricanant. Elle me tend sa chaussure, près de ma tête. « Nettoie moi ça avec ta langue, semelle comprise. Je viens de marcher dans une merde de chien. »
Éclats de rire de tous les hommes. Mais je suis à leur merci. Dominant ma honte et ma nausée, je m’exécute. A petits coup de langue, d’abord, sur le dessus de la chaussure. « Grouille-toi! Je n’ai pas la soirée! ». J’accélère, passant de grands coups de langue sur les flancs et l’arrière. « Allez! La semelle, maintenant! »
Une ...